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Franck, personne à mobilité réduite, a de plus en plus de mal à se déplacer dans les espaces publics: "Il y a toujours la peur de se faire percuter" 

Franck Dupont est en chaise roulante électrique depuis un an et demi à cause du diabète. Chez lui, tout est aménagé, mais c'est loin d'être le cas quand il en sort. Sur la route, Franck doit parfois monter sur la nationale, une voie à 70 km/h. Il y a un trottoir, mais il sert en bonne partie de parking. "Je suis obligé de me retrouver sur la chaussée avec les voitures qui arrivent souvent bien au-dessus de 70 km heure dans mon dos. Donc, il y a toujours la peur de se faire percuter. Les camions, notamment, c'est toujours ma grande crainte parce qu'eux, ça ne pardonne pas".

Il faut rouler 200 mètres pour tenter sa chance. Souvent, le bus arrive, mais le chauffeur ne sort pas la rampe. Le chauffeur est dans son droit, car l'arrêt est classé impraticable pour les PMR. En effet, l'arrêt ne fait pas partie des 809 points conformes ou praticables dans sa zone TEC qui investit un million et demi d'euros par an.

Problème pour Franck, il n'y a ici qu'un bus par heure. "Aujourd'hui, j'ai envie de dire que ça va, il fait bon. Quand il gèle, quand il pleut, c'est la même chose. Je dois quand même prendre le suivant, comme il me dit, mais je n'ai pas toujours le temps de prendre le suivant. J'ai des rendez-vous à Mons, des rendez-vous à l'hôpital. Dans ce cas-là, j'ai 5 km à faire pour rejoindre Mons en fauteuil roulant dans la circulation", explique-t-il. 

Le viaduc, un des passages délicats. Raide, en courbe, avec une piste cyclable mais trop dangereuse selon notre témoin, qui active ses gyrophares. "La moindre erreur, je vais me retrouver, je vais sauter sur la chaussée en fait. Donc, par sécurité, je préfère emprunter directement la chaussée". Et à 15 km heure maximum, il doit s'imposer...

La suite de ce reportage est à voir en vidéo.

 

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(01/05/2024 : 21:31)

Risques de tempêtes et d'inondations: le numéro 1722 activé par le SPF Intérieur 

Le numéro 1722 dédié aux interventions non-urgentes des pompiers a été activé mercredi en raison des risques de tempête ou d'inondation, indique le SPF Intérieur dans un communiqué.

L'Institut royal météorologique (IRM) a émis un avertissement de mauvais temps avec d'importantes averses qui pourront être localement orageuses. Toute la moitié est du pays est en alerte jaune de jeudi matin au début de la nuit de jeudi à vendredi. "La situation est par ailleurs très complexe et les prévisions peuvent encore évoluer", prévient l'IRM.  

 Le SPF Intérieur a dès lors activé le numéro spécial 1722, afin d'éviter que les lignes d'urgence soient encombrées par des appels pour des interventions qui peuvent attendre. En cas de dommages causés par une tempête ou de dégâts des eaux pour lesquels une assistance des pompiers est requise, il faut donc composer ce numéro. Si une vie est en danger, c'est le 112 qu'il faut joindre.    

Le SPF recommande également le recours au guichet électronique 1722.be, considéré comme "le moyen le plus direct de demander l'aide des pompiers dans des situations où aucune vie n'est en danger".

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(01/05/2024 : 20:59)

Le numéro 1722 activé pour risque de tempête ou d'inondation 

L'Institut royal météorologique (IRM) a émis un avertissement de mauvais temps avec d'importantes averses qui pourront être localement orageuses. Toute la moitié est du pays est en alerte jaune de jeudi matin au début de la nuit de jeudi à vendredi. "La situation est par ailleurs très complexe et les prévisions peuvent encore évoluer", prévient l'IRM.

Le SPF Intérieur a dès lors activé le numéro spécial 1722, afin d'éviter que les lignes d'urgence soient encombrées par des appels pour des interventions qui peuvent attendre. En cas de dommages causés par une tempête ou de dégâts des eaux pour lesquels une assistance des pompiers est requise, il faut donc composer ce numéro. Si une vie est en danger, c'est le 112 qu'il faut joindre.

Le SPF recommande également le recours au guichet électronique 1722.be, considéré comme "le moyen le plus direct de demander l'aide des pompiers dans des situations où aucune vie n'est en danger".

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(01/05/2024 : 20:54)

Info RTL: le corps de Laura Trappeniers, belge disparue à Tenerife, a été retrouvé sans vie, son mari toujours porté disparu 

Laura Trappeniers, 66 ans, était portée disparue à Tenerife, avec son mari depuis plus d'une semaine.

Aux alentours de 20 heures ce mercredi, nous apprenons, d'après une source RTL info, qu'un corps a été retrouvé à Tenerife et qu'il s'agissait bien de celui de la dame de 66 ans, originaire d'Anderlecht. Les proches ont été prévenu de la découverte du corps et de l'identification. Son mari est toujours porté disparu.

Retour sur les faits

Un avis de disparition avait été diffusé, la semaine dernière, via le site du Centre national espagnol des personnes disparues (CNDES). Le SPF Affaires étrangères était au courant de cette disparition.

Il s'agissait de Laura Trappeniers (66 ans) et de son mari Marc Olbrechts (71 ans). Sur les médias sociaux, les amis du couple ont lancé un appel pour recueillir des informations. Les deux individus avaient été vus pour la dernière fois le 22 avril.

"Ils ne sont pas partis de leur plein gré", confirme un ami du couple chez Het Laatste Nieuws, après avoir découvert que les clés et le téléphone de Laura se trouvaient toujours dans la maison. Leur voiture a également disparu.

Le SPF Affaires étrangères confirme avoir été informé de la disparition. "Le SPF Affaires étrangères à Bruxelles et le consulat de Belgique à Tenerife suivent ce dossier de près et sont en contact avec les autres autorités espagnoles et belges compétentes", a indiqué samedi soir un porte-parole.

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(01/05/2024 : 20:20)

Une vingtaine de châteaux ouvraient leur portes au public ce mercredi: plusieurs milliers de personnes ont pu en profiter 

La Vie de château en famille a emmené, ce 1er mai, un large public familial à la découverte de nombreux châteaux wallons. Petits et grands ont pu profiter d'un accès privilégié et gratuit à 28 châteaux répartis dans toute la Wallonie, ouverts parfois exceptionnellement pour l'occasion. Qu'il s'agisse de places fortes dominant un paysage majestueux ou de demeures de plaisance parfois complétées de magnifiques parcs, il y en avait pour tous les goûts. Outre les visites guidées, les familles ont pu prendre part à des activités plus variées les unes que les autres ainsi qu'à des jeux, créés par Musées et Sociétés en Wallonie.

Un public ravi s'est déplacé en masse pour cette quatrième édition et les châteaux participants ont accueilli plusieurs centaines de personnes dont de très nombreux enfants. Les châteaux d'Hélécine (plus de 5.500 visiteurs), de Franchimont (près de 1.000 personnes), de Trazegnies (plus de 550 personnes), de Moha (et ses 450 visiteurs) ou encore de Ham-sur-Heure-Nalinnes (333 personnes pour les seules visites guidées), par exemple, ont ainsi été largement plébiscités.

La Vie de château en famille est une manifestation ludique et didactique permettant aux familles d'être sensibilisées à la richesse du patrimoine wallon, à sa préservation et à sa valorisation. L'Agence wallonne du Patrimoine se réjouit de l'accueil réservé à cet évènement et remercie l'engagement de tous les propriétaires privés, des autorités publiques ainsi que du monde associatif.

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(01/05/2024 : 19:22)

Borgerhout/GW gagne la Coupe de Belgique de korfbal pour la 3e fois de suite 

C'est la troisième victoire suite pour le club anversois qui s'est imposé chez son adversaire du jour.

Borgerhout/GW a décroché le titre de champion de Belgique en salle en mars. Il avait remporté en juin dernier le titre outdoor pour la première fois depuis 1994 et vise à nouveau le doublé.

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(01/05/2024 : 19:14)

Découverte d'un obus de mortier dans une cave à Liège 

En rangeant la maison de son père récemment décédé, un habitant de la cité ardente a découvert un obus dans la cave de l'immeuble. Il a aussitôt apporté l'objet à la caserne des pompiers de Liège, rue Ransonnet.

L'engin, qui mesure une vingtaine de centimètres, ne présente a priori aucun danger, pour autant qu'il n'est pas manipulé.

L'obus a été déposé dans un local de la caserne liégeoise, dans l'attente de l'intervention du service d'enlèvement et de destruction d'engins explosifs (SEDEE) de la Défense. Un périmètre de sécurité d'un mètre a été établi pour que personne n'y touche.

Le traitement de la munition par le service spécialisé est prévu jeudi.

"Le fait de nous avoir apporté la munition n'est pas une bonne idée. L'engin est certes inoffensif s'il n'est pas manipulé. Mais imaginons que la personne qui nous l'amène est victime d'un accident de la route. Il se peut que la munition explose. Je conseille donc aux personnes se trouvant dans cette situation de ne toucher à rien et de nous appeler", a précisé le capitaine Cédric Scheen à l'agence Belga.

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(01/05/2024 : 18:52)

L'ex-compagnon d'Annie De Poortere comparaîtra vendredi devant la chambre du conseil 

Samedi, des restes humains ont été découverts au hasard de travaux de construction effectués à proximité du lieu où résidait la disparue. Plusieurs éléments laissaient penser qu'il s'agissait des restes d'Annie De Poortere, disparue en 1994 alors qu'elle avait 48 ans.

Un juge d'instruction a été saisi après la découverte des ossements.

Depuis lors, l'ex-compagnon d'Annie De Poortere a été interpellé et auditionné par la police. Un juge d'instruction a décidé de l'inculper pour assassinat et l'a placé sous surveillance électronique. Le septuagénaire a livré des aveux partiels. Il a reconnu avoir enterré Mme De Poortere mais nie par contre l'avoir tuée.

Les suites de l'enquête devront déterminer quelle a réellement été sa contribution au décès de son ancienne compagne. En vertu du délai de prescription, la justice a jusqu'au 12 novembre pour éventuellement renvoyer l'affaire devant un tribunal avec qu'elle ne soit classée sans suite.

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(01/05/2024 : 18:50)

Des livreurs Uber Eats se sont rassemblés devant le siège bruxellois du groupe: ils réclament "des améliorations des conditions de travail" 

Des livreurs travaillant pour la plateforme Uber Eats se sont rassemblés mercredi après-midi devant le siège bruxellois d'Uber. En grève ces 30 avril et 1er mai, ils ont mené plusieurs actions pour protester contre leurs conditions de travail précaires et réclamer une meilleure rémunération.

Dès 16h30, une soixantaine de personnes étaient présentes devant le siège d'Uber, situé à Etterbeek, afin de montrer "qu'ils ne lâcheront et ne partiront pas tant que des changements concrets n'auront pas eu lieu".    

"Nous demandons de véritables améliorations quant aux conditions de travail inacceptables auxquelles nous sommes confrontés. Avec cette mobilisation, nous souhaitons inspirer tous celles et ceux qui soutiennent la justice sociale", ont souligné des livreurs Uber Eats, soutenus par les livreurs des plateformes Deliveroo et Take Away. Concrètement, ils réclament une meilleure rémunération, d'au moins 2 euros par course et de 0,5 euro/km parcouru. Actuellement, les livreurs Uber Eats gagnent 4,42 euros par course - un tarif qui n'a pas augmenté depuis 2019 malgré l'inflation.  

"Avec cette rémunération désastreuse et une inflation d'au moins 20%, les livreurs doivent parfois travailler jusqu'à 70 heures par semaine pour arriver à un salaire décent. Ce n'est plus tenable", a insisté Camille Peteers, livreur et responsable MOC Bruxelles.  

Les déconnexions automatiques de comptes de livreurs "décidées par l'algorithme sans possibilité réelle de défendre leur point de vue ni de discuter avec un être humain" sont également dénoncées par les manifestants. Ceux-ci exigent en outre davantage de respect de la part d'Uber Eats envers les travailleurs migrants ou sans-papiers.  

Pour cette deuxième journée consécutive de grève, les coursiers de plateforme se sont mobilisés à Bruxelles, Alost ou encore Anvers. Dans la capitale, ils ont bloqué les livraisons à Porte de Namur, Bascule, au Cimetière d'Ixelles, et ont "paralysé le business des plateformes qui exploitent les livreurs".

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(01/05/2024 : 18:25)

Des milliers de personnes aux festivités organisées par la FGTB au Mont des Arts 

Dès 13h00, la "kermesse de la transition juste", organisée par Ecolo, était sur pied. Le parti a tenu à rappeler certaines mesures phares de son programme, telles que la réduction collective du temps de travail ou encore la taxation des grandes fortunes.

"L'emploi est au cœur de notre projet de transition socialement juste, émancipatrice et solidaire. Un emploi, c'est un gage de revenus, d'épanouissement, d'apprentissage, mais encore faut-il que cet emploi soit de qualité", a souligné le parti.

Toute l'après-midi, les passants ont aussi pu profiter des concerts, de l'exposition photo, du village associatif ou encore des discussions politiques organisées par la FGTB. Cette année, la santé, l'extrême droite et les droits des femmes figuraient au menu des débats du jour, notamment en présence du président du syndicat, Thierry Bodson. Les festivités étaient en outre l'occasion d'accueillir la nouvelle secrétaire générale de la FGTB Bruxelles, Florence Lepoivre, en poste depuis mercredi et qui succède à Estelle Ceulemans.

"Deux choses me tiennent particulièrement à cœur. Je compte défendre Bruxelles d'arrache-pied en appuyant sur ses particularismes. J'entends également rappeler au grand public la force et l'importance d'un syndicat", a souligné Florence Lepoivre. "Si les syndicats riment souvent avec grève et revendications, il s'agit aussi du travail quotidien effectué par nos membres et nos permanents pour protéger quoi qu'il en coûte les droits des travailleurs et travailleuses."

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(01/05/2024 : 18:17)

Cette villa de 900 m² est à gagner pour la modique somme de...10 euros: "C'est unique en Belgique" 

À Godinne, en région namuroise, une maison datant du XVIIIe siècle, habitée par l'ancien Premier ministre, Paul-Henri Spaak, sera mis en vente d'une manière peu traditionnelle : via une tombola. Il s'agit d'une demeure de 900 m² située en bord de Meuse, comprenant 7 chambres, 12 chambres, 8 salles de bain et une piscine sur un terrain de 6 700 m². "C'est unique en Belgique, je pense que c'est la première fois", indique Valère, le propriétaire. 

Le propriétaire, Valère, ancien agent immobilier, explique son choix peu conventionnel :"'C'est quand même 35 ans que je fais ce métier. C'est vrai qu'aujourd'hui, l'idée, c'est de faire autrement, l'envie de faire autre chose. Parce que bon, faire ce métier, c'est très, très beau, c'est très bien, c'est un métier de passionné. Mais je pense que comme dans tout métier, quand on le fait depuis autant d'années, on a envie de voir et de faire autrement". 

Pour tenter de remporter cette maison, il faudra répondre à des questions de culture générale et estimer la valeur de la maison. Cependant, si le montant minimum n'est pas atteint après trois mois, le propriétaire se réserve le droit de se rétracter. Il a tout de même pris des précautions, comme l'explique Valère : "À ce moment-là, il y aura deux options pour eux. Soit je leur rembourse leur ticket ou soit je les transfère à leur choix, bien évidemment". 

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(01/05/2024 : 18:17)

Les livreurs Uber Eats devant le siège d'Uber pour dénoncer leurs conditions de travail 

Dès 16h30, une soixantaine de personnes étaient présentes devant le siège d'Uber, situé à Etterbeek, afin de montrer "qu'ils ne lâcheront et ne partiront pas tant que des changements concrets n'auront pas eu lieu".

"Nous demandons de véritables améliorations quant aux conditions de travail inacceptables auxquelles nous sommes confrontés. Avec cette mobilisation, nous souhaitons inspirer tous celles et ceux qui soutiennent la justice sociale", ont souligné des livreurs Uber Eats, soutenus par les livreurs des plateformes Deliveroo et Take Away.

Concrètement, ils réclament une meilleure rémunération, d'au moins 2 euros par course et de 0,5 euro/km parcouru. Actuellement, les livreurs Uber Eats gagnent 4,42 euros par course - un tarif qui n'a pas augmenté depuis 2019 malgré l'inflation.

"Avec cette rémunération désastreuse et une inflation d'au moins 20%, les livreurs doivent parfois travailler jusqu'à 70 heures par semaine pour arriver à un salaire décent. Ce n'est plus tenable", a insisté Camille Peteers, livreur et responsable MOC Bruxelles.

Les déconnexions automatiques de comptes de livreurs "décidées par l'algorithme sans possibilité réelle de défendre leur point de vue ni de discuter avec un être humain" sont également dénoncées par les manifestants. Ceux-ci exigent en outre davantage de respect de la part d'Uber Eats envers les travailleurs migrants ou sans-papiers.

Pour cette deuxième journée consécutive de grève, les coursiers de plateforme se sont mobilisés à Bruxelles, Alost ou encore Anvers. Dans la capitale, ils ont bloqué les livraisons à Porte de Namur, Bascule, au Cimetière d'Ixelles, et ont "paralysé le business des plateformes qui exploitent les livreurs".

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(01/05/2024 : 18:11)

Une manifestation non autorisée rassemble 500 personnes à Liège 

Les intéressés ont pris position sur l'esplanade de la place des Deportés où ils se sont mis à danser.

Les policiers sont présents pour s'assurer que le groupe reste sur place et ne trouble pas l'ordre public.

Les participants au rassemblement ont annoncé qu'ils comptaient rester sur place jusque 20h00.

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(01/05/2024 : 17:18)

Pour le 1er mai, la co-présidente d'Ecolo rappelle une mesure phare des Verts: augmenter les bas et moyens salaires des travailleurs 

Comme de nombreux autres partis ce mercredi, Écolo a tenu à rassembler ses électeurs autour du 1er mai, la Fête du Travail, à quelques semaines des élections qui auront lieu le 9 juin prochain.

Présente sur place à Bruxelles, Rajae Maouane, co-président du parti écologiste, est intervenue à notre micro et a tenu à revenir sur la signification de ce 1er mai. "C'est avant tout la Fête des travailleurs et des travailleuses, mais chez Écolo, on n'attend pas cette date pour les soutenir", explique-t-elle. "On veut les soutenir avec une proposition qui est d'augmenter les bas et moyens salaires d'au moins 300 euros par mois, notre mesure phare chez Écolo".

Ce 1er mai est historiquement créé par les socialistes, et depuis 30 ans, les libéraux tentent de s'accaparer cette journée également. Comment exister en tant qu'autre parti politique lors de cette journée ? "De nombreux militants sont présents, viennent de partout pour cette journée", explique la co-présidente. "L'enjeu social, c'est aussi l'enjeu climatique. En effet, on ne résoudra pas la question sociale sans la question climatique. Il faut donc se battre pour des conditions de travail qui soient meilleures pour les travailleurs, Écolo a des propositions pour se tenir à leurs côtés".

 

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(01/05/2024 : 16:30)

Le trafic ferroviaire totalement rétabli entre Bruxelles et Louvain 

Le trafic avait dû être arrêté à 11h15 après un accident de personne.

La SNCB précise tout de même que des retards et annulations ne sont pas à exclure entre la capitale et Louvain.

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(01/05/2024 : 16:03)

Un feu de forêt s'est déclaré à proximité du "Monde Sauvage" d'Aywaille: l'incendie est désormais éteint 

Un feu de forêt s'est déclaré mercredi après-midi dans l'entité d'Aywaille, en province de Liège, a-t-on appris auprès des zones de secours en intervention.

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Les pompiers des zones de secours 5 WAL et 4 VHP sont déployés depuis le début d'après-midi à Aywaille, dans les bois situés entre "Le Monde Sauvage" d'Aywaille et Hassoumont.  

Un incendie s'y est déclaré pour une raison encore indéterminée. Le feu s'est propagé sur une superficie de quelque 1.000 mètres carrés. Le sinistre se trouve sous contrôle vers 15h, mais le travail d'extinction sera encore long, expliquent les pompiers qui précisent également que les lieux sont difficile d'accès. Vers 15h45, nous apprenons que l'incendie est désormais totalement éteint.

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(01/05/2024 : 15:51)

Un feu de forêt s'est déclaré à Aywaille 

Les pompiers des zones de secours 5 WAL et 4 VHP sont déployés depuis le début d'après-midi à Aywaille, dans les bois situés entre "Le Monde Sauvage" d'Aywaille et Hassoumont.

Un incendie s'y est déclaré pour une raison encore indéterminée.

Le feu s'est propagé sur une superficie de quelque 1.000 mètres carrés.

Le sinistre se trouve sous contrôle vers 15h, mais le travail d'extinction sera encore long, expliquent les pompiers qui précisent également que les lieux sont difficile d'accès.

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(01/05/2024 : 15:40)

Discours du 1er mai: les socialistes flamands veulent une pension complète dès 60 ans pour les travailleurs qui ont commencé à 18 ans 

Les personnes qui ont débuté leur carrière professionnelle à 18 ans devraient pouvoir bénéficier d'une pension complète dès leurs 60 ans, a affirmé la présidente du parti socialiste flamand Vooruit, Melissa Depraetere, mercredi dans son discours du 1er mai.

Cette proposition s'ajoute à une autre présentée mardi soir, en avant-goût de la Fête du travail. La présidente de Vooruit avait alors dit vouloir augmenter le salaire minimum à 15 euros de l'heure, soit environ 2.500 euros par mois.    

Ce mercredi, elle a appelé les militants présents à ne pas se croire battus d'avance sur ces principes. "Il y a cinq ans, nous avions promis au moins 1.500 euros de pension nette. Ils ont dit que ce n'était possible, que cela n'arriverait jamais. Et pourtant aujourd'hui, il y a plus de 1.600 euros nets sur les comptes des pensionnés", selon Melissa Depraetere.

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(01/05/2024 : 15:31)

Vooruit veut une pension complète à 60 ans pour ceux qui ont débuté leur carrière à 18 

Cette proposition s'ajoute à une autre présentée mardi soir, en avant-goût de la Fête du travail. La présidente de Vooruit avait alors dit vouloir augmenter le salaire minimum à 15 euros de l'heure, soit environ 2.500 euros par mois.

Ce mercredi, elle a appelé les militants présents à ne pas se croire battus d'avance sur ces principes. "Il y a cinq ans, nous avions promis au moins 1.500 euros de pension nette. Ils ont dit que ce n'était possible, que cela n'arriverait jamais. Et pourtant aujourd'hui, il y a plus de 1.600 euros nets sur les comptes des pensionnés", selon Melissa Depraetere.

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(01/05/2024 : 15:20)

Le Belang lie hausse de pouvoir d'achat des flamands et restriction d'accès à la sécu 

Ce dispositif a été présenté mercredi à l'occasion de la journée des familles organisée traditionnellement par la formation flamande d'extrême droite le jour de la Fête du travail, cette fois-ci à La Panne.

Selon le président Tom Van Grieken, le Vlaams Belang veut ainsi que les flamands qui travaillent puissent bénéficier via une réforme fiscale de 239 euros nets de plus par mois.

Toujours d'après le leader de l'extrême droite flamande, ce plan coûte 8,5 milliards d'euros dont le financement peut être obtenu via l'autonomie de la Flandre en matière de fiscalité (5,3 milliards) et de sécurité sociale (2,2 milliards). Le Belang propose de pêcher le reste (1,1 milliard) dans la "facture de l'asile".

De plus, le Vlaams Belang entend limiter l'accès à la sécurité sociale aux personnes qui ont séjourné légalement dans le pays depuis au moins huit ans, ont travaillé à temps plein durant au moins trois ans, et ont une maîtrise du néerlandais de niveau B1.

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(01/05/2024 : 15:16)

Une Belge disparue à Tenerife retrouvée 

Le couple avait été vu pour la dernière fois le 22 avril, deux jours avant la diffusion d'un avis de recherche. Leur voiture, une Opel Mokka bleue immatriculée en Espagne, n'a pas été localisée.

Le SPF Affaires étrangères confirme suivre le dossier.

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(01/05/2024 : 15:08)

Tomorrowland espère toujours une dérogation pour ses gobelets jetables: "Chaque organisateur connaît la législation" 

Tomorrowland regrette de ne pas avoir reçu de dérogation pour pouvoir utiliser des gobelets jetables. Le festival de Boom affirme en avoir encore 3 millions en stock, achetés en 2022. Mardi, la ministre flamande de l'Environnement Zuhal Demir a réaffirmé qu'il n'y aura pas d'exception quant à l'obligation d'utiliser des gobelets réutilisables, contrairement à l'été dernier.

Le festival dit ne pas être fermé à l'usage de gobelets réutilisables : il prévoit d'ailleurs d'en mettre un million à disposition de ses bars. Il espère encore pouvoir utiliser les jetables dans les zones ouvertes, et les réutilisables dans les zones fermées. Le festival dit ne pas se considérer comme étant au-dessus des lois, mais estime "crucial de réaliser des bénéfices environnementaux effectifs plutôt" que de rester sur des positions de principe.  

Le festival s'est déjà vu refuser à trois reprises l'utilisation de gobelets jetables, dont une dernière fois mardi. Zuhal Demir rappelait alors que "depuis plus d'un an, chaque organisateur connaît la législation" et il ne lui semblait alors "pas approprié d'accorder une exception à une organisation, alors que tous les autres organisateurs ont apparemment pris des initiatives suffisantes pour se conformer à la législation."

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(01/05/2024 : 15:04)

Des manifestants s'invitent aux festivités du PS et d'Ecolo pour contester la "loi Frontex": quelle est-elle précisément? 

Une centaine de manifestants se sont rendus mercredi matin au parvis de Saint-Gilles, où se réunissaient les membres du Parti Socialiste (PS) à l'occasion du 1er mai. À l'initiative de la plateforme citoyenne BelRefugees, Abolish Frontex et le Réseau Ades, la mobilisation visait à convaincre les députés de voter contre la loi Frontex jeudi au Parlement fédéral. Une action similaire est prévue à 14h30 au Mont des Arts, en marge des festivités d'Ecolo.

Dès 11h00, la foule a commencé à affluer au parvis de Saint-Gilles, en contrebas de la salle de réunion partisane du PS. "Non à la loi Frontex", "Le collectif Zone neutre s'oppose à la Frontexénophobie", pouvait-on lire sur des banderoles. Ce projet de loi, porté par la ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden (CD&V), permettrait à du personnel de l'agence européenne Frontex d'effectuer (sous l'autorité de la police fédérale belge) des contrôles aux frontières belges - dans les aéroports, les ports maritimes, la gare du Midi et au terminal Eurostar - et d'escorter des retours forcés d'étrangers.  

Hormis le PTB-PVDA, "tous les partis se sont entendus pour voter ce projet de loi, y compris PS et Ecolo", ont déploré les organisateurs. Si les partis de gauche espèrent qu'il sera toujours temps après les élections d'interjeter l'appel, cette stratégie est jugée "politiquement naïve et juridiquement inexacte" par les organisateurs. Les manifestants ont alerté sur les dangers liés à la présence en Belgique de l'agence européenne, considérée comme "la personnification des politiques répressives et mortifères de l'Union européenne en matière de migration".  

"Frontex est complice de crimes contre l'humanité, collabore avec les garde-côtes libyens, participe aux push-back en mer Égée, ne signale pas les bateaux en détresse, etc. Un vote en faveur de cette loi ouvrirait un précédent extrêmement dangereux et irréversible", ont conclu de concert les associations.

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(01/05/2024 : 14:49)

Rousseau : la scission prônée par le Belang mène aux mêmes échecs que le Brexit 

Avec M. Rousseau, c'est un autre chef de file de Vooruit qui a ainsi mis en garde la population flamande contre les conséquences d'une victoire électorale de l'extrême droite.

"Je suis très inquiet lorsque j'entends le président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken, dire qu'il remet la scission de la Belgique sur la table", a-t-il déclaré, s'exprimant dans sa ville natale de Saint-Nicolas.

M. Rousseau a établi une comparaison du projet des extrémistes flamands avec le Brexit, l'opération de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

"L'extrême droite avait promis que le départ de l'Europe, serait bon pour les travailleurs, pour les soins de santé et pour l'économie. Mais après une décennie de palabres, elle a obtenu une régression pour les travailleurs, une régression pour les soins de santé et une économie qui se porte plus mal."

"Je ne veux pas d'un Brexit en Belgique", a déclaré Rousseau. "Nous n'avons pas le temps de passer 10, 20, 30 ans à négocier la fin du pays." Vooruit veut offrir des "solutions" aux travailleurs, a-t-il déclaré: "un salaire plus élevé, des investissements supplémentaires dans les soins de santé, une économie forte".

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(01/05/2024 : 14:43)

Environ 10.000 personnes manifestent à Zurich 

Une correspondante de Keystone-ATS sur place a évalué à 10.000 personnes l'affluence au cortège. Ce dernier se dirigeait vers la place du Sechseläuten, où il devait se terminer. La police était présente en force.

Le cortège officiel organisé par la faîtière syndicale de l'Union syndicale suisse (USS) visait en particulier à mobiliser en faveur d'un "oui" à l'initiative d'allègement des primes maladie, soumise en votation le 9 juin. De nombreux groupes se sont toutefois joints à la manifestation, notamment cette année un grand "bloc Palestine".

Dans l'après-midi, de nombreuses organisations radicales de gauche ont appelé à une manifestation non autorisée.

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(01/05/2024 : 14:24)

Dans son discours du 1er mai, la FGTB appelle, sans le nommer, le PTB à prendre ses responsabilités: "On ne peut plus attendre" 

"Si on attend encore la rupture pendant cinq ou dix ans, on crèvera tous de chaud et nos jeunes seront tous au bord de la route. C'est aujourd'hui qu'il faut prendre ses responsabilités", a asséné le président de la FGTB, Thierry Bodson, mercredi, lors de son discours du 1er Mai prononcé dans les locaux de la CGSP namuroise.

Dans sa ligne de mire à quelques semaines des élections du 9 juin: le PTB, qu'il prend toutefois soin de ne pas nommer. "Pour que le front de gauche se fasse, je veux dire au parti qui veut la rupture qu'on ne peut plus attendre. On a dix ans pour relever le défi climatique et pour ne laisser personne au bord de la route dans un contexte d'économie en transition. On a besoin de moyens et de décisions politiques. Aujourd'hui", a-t-il affirmé.  

Au-delà de son appel à l'extrême gauche, le syndicat socialiste est revenu sur ses priorités, avec le pouvoir d'achat comme première d'entre elles. Le discours est rodé: pour la FGTB, le statut de cohabitant doit être supprimé, les allocations sociales doivent être revues à la hausse "jusqu'à 110% au-dessus du seuil de pauvreté" et des augmentations de salaires doivent pouvoir être négociées. "On est dans un pays dont l'économie se porte plutôt bien. On doit partager les fruits de cette croissance et donc pouvoir négocier les salaires. On n'acceptera pas une nouvelle fois qu'on ne revienne pas sur la loi de 1996 - qui fixe la marge salariale, ndlr - , ni qu'on touche à l'indexation automatique", a affirmé Thierry Bodson.  

Pas question non plus, selon le président de la FGTB, de payer une troisième cure d'austérité. "Le carcan budgétaire européen, c'est un effort cumulé de 4 milliards par an, soit un effort global de 30 milliards. On ne peut pas l'accepter, d'autant qu'on a déjà payé dans les années 90 et en 2008. On ne payera pas une troisième fois parce que des banquiers déconnent", a-t-il assuré sous les applaudissements des militants.   

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(01/05/2024 : 14:24)

Le relèvement du salaire, priorité du PS dans un prochain gouvernement 

"Je prends cet engagement solennel: si nous entrons dans un gouvernement, nous augmenterons les salaires. Et si les autres ne veulent pas, ce sera sans les socialistes", a-t-il déclaré devant les militants de son parti réunis à Charleroi.

Le PS a mis en avant une nouvelle augmentation du salaire minimum de 400 euros, après les mesures déjà prises sous cette législature, et une réforme fiscale qui offrira un gain net de 300 euros pour les bas et moyens salaires.

A travers leurs discours, les mandataires socialistes ont mis en avant les engagements qu'ils tenaient quand ils accédaient au pouvoir. "Quand les citoyens nous font confiance, nous assumons cette responsabilité et nous sommes les seuls à le faire", a assuré M. Magnette.

Les socialistes ont pris soin de se distinguer du concurrent à gauche, le PTB, et mis en garde contre un retour d'un gouvernement de droite que favoriserait l'axe MR-CD&V annoncé récemment. "Nous connaissons les ravages d'un gouvernement des droites. C'est contre cela que l'on doit se battre le 9 juin", a lancé le secrétaire d'Etat, Thomas Dermine.

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(01/05/2024 : 13:39)

Des manifestants s'invitent aux festivités du PS et d'Ecolo pour contester la loi Frontex 

Dès 11h00, la foule a commencé à affluer au parvis de Saint-Gilles, en contrebas de la salle de réunion partisane du PS. "Non à la loi Frontex", "Le collectif Zone neutre s'oppose à la Frontexénophobie", pouvait-on lire sur des banderoles.

Ce projet de loi, porté par la ministre de l'Intérieur Annelies Verlinden (CD&V), permettrait à du personnel de l'agence européenne Frontex d'effectuer (sous l'autorité de la police fédérale belge) des contrôles aux frontières belges - dans les aéroports, les ports maritimes, la gare du Midi et au terminal Eurostar - et d'escorter des retours forcés d'étrangers.

Hormis le PTB-PVBA, "tous les partis se sont entendus pour voter ce projet de loi, y compris PS et Ecolo", ont déploré les organisateurs. Si les partis de gauche espèrent qu'il sera toujours temps après les élections d'interjeter l'appel, cette stratégie est jugée "politiquement naïve et juridiquement inexacte" par les organisateurs.

Les manifestants ont alerté sur les dangers liés à la présence en Belgique de l'agence européenne, considérée comme "la personnification des politiques répressives et mortifères de l'Union européenne en matière de migration".

"Frontex est complice de crimes contre l'humanité, collabore avec les garde-côtes libyens, participe aux push-back en mer Égée, ne signale pas les bateaux en détresse, etc. Un vote en faveur de cette loi ouvrirait un précédent extrêmement dangereux et irréversible", ont conclu de concert les associations.

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(01/05/2024 : 13:37)

Le trafic ferroviaire reprend partiellement entre Bruxelles et Louvain 

Dans la mesure du possible, les trains sont déviés. La SNCB mettra en place des bus de remplacement dès que possible et informe les passagers munis d'un billet de train qu'ils peuvent prendre un bus (616) de la société de transport public De Lijn.

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(01/05/2024 : 13:33)

"Nous avions pris des engagements et nous les avons tenus": Paul Magnette fait le bilan lors de son discours du 1er mai 

"Plus de 140 célébrations pour le 1er et une parodie, celle du MR", voilà comment Paul Magnette a ouvert son discours du 1er mai, jour de la fête du travail. Durant son allocution, le Carolo en a surtout profité pour tirer le bilan de ce mandant, qui touche bientôt à sa fin. "Quand on va au contact des citoyens, on rappelle ce qu’on a fait, parce qu'on est fier de notre bilan. Nous avions pris des engagements en 2019 et nous les avons tenus. Nous sommes les seuls à pouvoir le dire", déclare Paul Magnette. 

Il indique les mesures fortes prises sous l'impulsion de son parti : "Lorsqu'on est revenus au pouvoir en 2019, le bilan était terrible avec cette majorité MR-NVA. Nous avons dû baisser les prix de l'énergie, nous avons augmenté les pensions ainsi que le salaire minimum. Tout cela s’est retrouvé dans les promesses et ensuite, dans les accords du gouvernement. Ce qu'on l’a dit, on l’a fait". Récemment, c'est le salaire minimum qui a été relevé à 400 euros nets. 

Rester le premier parti 

Mais le défi pour les élections du 9 juin prochain, c'est de rester le parti préféré des citoyens en Wallonie et à Bruxelles. "Pour ceux qui ne veulent pas voter, ou qui veulent voter pour une autre gauche... Il faut se rappeler de ce qui fait notre différence : quand on nous fait confiance, qu’on est le parti le plus fort, nous assumons cette confiance et cette responsabilité", souligne Paul Magnette. 

Lors de cette allocution, le président du PS n'a pas hésité à rappeler ses prochains engagements : continuer à augmenter les salaires, une réforme fiscale en taxant les plus fortunés ou encore, continuer à investir dans les soins de santé. "Le MR veut faire 6 milliards d'euros d'économies dans le système de santé. On le dit, si on est fort, on ne laissera pas faire ça, la santé n'a pas de prix". 

Paul Magnette a également pu répondre aux questions de notre journaliste, notamment, sur la façon dont il va financer toutes ses annonces ou encore, sur ses attaques subtiles : "Cela ne m'intéresse pas de critiquer les autres, bien qu'ils aiment créer des polémiques et taper sur les autres. Je me bats pour les citoyens et citoyennes". Il poursuit : "Augmenter les salaires, cela se finance grâce aux marges des entreprises et grâce à une fiscale, en faisant payer la minorité des plus riches". 

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(01/05/2024 : 13:20)

Un nonagénaire avoue avoir mis feu à sa maison à Tubize: il a été privé de liberté 

Un nonagénaire a été privé de liberté après avoir incendié sa maison dans la nuit de lundi à mardi à Tubize, a-t-on appris mercredi auprès du parquet du Brabant wallon.

Une habitation située le long de la chaussée d'Hondzocht à Tubize a été détruite par le feu durant la nuit de lundi à mardi.

Le dispatching de la zone de secours du Brabant wallon a été alerté vers 02h30. Les pompiers de Tubize et de Braine-l'Alleud ont été mobilisés jusqu'à 6h00.

La maison est détruite. Il n'y a pas de victime.

L'occupant des lieux, âgé de 95 ans, a déclaré avoir bouté le feu. Il a été privé de liberté et entendu mercredi par un juge d'instruction.

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(01/05/2024 : 13:14)

Georges-Louis Bouchez accuse le PS et Ecolo de "courir derrière Raoul" dans son discours du 1er mai: "Prenez une cure de détaxe" 

Le président du MR, Georges-Louis Bouchez a prononcé son discours du 1er mai à la Mons Arena à Jemappes, en félicitant les libéraux d'avoir "réussi à réimposer dans le débat public, (...) le travail".

Georges-Louis Bouchez a rapidement enchaîné en pointant du doigt le "fatalisme" des socialistes. "Le problème de la Wallonie et de Bruxelles, ce n'est pas la misère économique, c'est la misère culturelle. C'est cette idée selon laquelle, parce que vos grands-parents étaient demandeurs d'emploi, que votre papa l'était aussi, que votre seul avenir serait, vous aussi, d'être un allocataire social", explique le libéral. "Ne baissez pas les bras, ne succombez pas au fatalisme, il y a un espoir", dit-il.

Le libéral a également accusé le PS et Ecolo de "courir derrière Raoul (Hedebouw, ndlr)", en évoquant le décret paysage : "Alors je voudrais dire deux choses à Raoul. La première, c'est que tout son projet de société, il n'est pas neuf. Il a été appliqué dans des dizaines de pays à travers le monde. Il a été appliqué à différents moments de l'histoire. Ton projet de société, Raoul, le communisme, il a entraîné pauvreté, malgouvernance, violence, révolte sociale", adresse George-Louis Bouchez.

"Alors, Raoul, j'ai un conseil pour toi", continue-t-il. "Ce conseil, il vaut pour Paul (Magnette) et Jean-Marc (Nollet), c'est de prendre une cure de "détaxe", jette-t-il. George-Louis Bouchez s'attaque à la proposition de taxer les riches, en affirmant que c'est la classe moyenne, comme les enseignants, qui seront concernés. "Vous aussi, vous méritez une baisse d'impôts, et jamais le Mouvement Réformateur ne divisera la classe moyenne", s'exclame-t-il.

Il a rappelé le projet des libéraux de relever la quotité exemptée d'impôts. Le principe sera "pas un euro d'impôt" en dessous du montant de la première allocation sociale. Le MR entend aussi baisser à 15% l'impôt des sociétés pour les petites et les "petites moyennes entreprises" de 25 travailleurs maximum.

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(01/05/2024 : 13:03)

Un nonagénaire privé de liberté après avoir incendié sa maison à Tubize 

Une habitation située le long de la chaussée d'Hondzocht à Tubize a été détruite par le feu durant la nuit de lundi à mardi.

Le dispatching de la zone de secours du Brabant wallon a été alerté vers 02h30. Les pompiers de Tubize et de Braine-l'Alleud ont été mobilisés jusqu'à 6h00.

La maison est détruite. Il n'y a pas de victime.

L'occupant des lieux, âgé de 95 ans, a déclaré avoir bouté le feu. Il a été privé de liberté et entendu mercredi par un juge d'instruction.

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(01/05/2024 : 13:00)

Un 1er mai lumineux et doux avec des maxima atteignant 25°C 

Mercredi en fin de journée et en début de soirée, des averses ou des cellules orageuses pourront se développer de manière isolée et conduire ponctuellement à des pluies intenses et de la grêle. Le risque sera toutefois limité.

Plus tard dans la soirée ou la nuit, une ligne d'averses orageuses plus structurée remontera de la France vers notre pays. Celle-ci devrait toucher les régions proches de la frontière, puis poursuivre sa lente progression vers le nord, mais son activité devrait décliner.

À l'arrière, des nuages bas, de la brume ou des bancs de brouillard se formeront temporairement. Les minima seront compris entre 10 et 15°C, sous un vent d'abord modéré de nord à nord-est, devenant ensuite faible à modéré de direction variable ou de secteur sud-ouest.

Jeudi, des pluies ou des averses orageuses très intenses se développeront localement. Les maxima oscilleront entre 14 à 23°C.

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(01/05/2024 : 12:55)

Le mois d'avril a été assez chaud, sombre et humide, selon l'IRM 

Sans tenir compte des deux derniers jours du mois, avril peut être divisé en deux en termes de températures. "À Uccle, les températures se sont situées au-dessus de leurs normales respectives du 1er jusqu'au 14, tandis qu'elles se sont situées en dessous du 15 jusqu'au 27", selon l'IRM. Les deux derniers jours du mois ont encore une fois été légèrement plus chauds.

Comme au cours des deux derniers mois, les températures minimales élevées ont été particulièrement "remarquables", a noté l'IRM. La température minimale moyenne était de 7,3°C, soit plus d'1°C au-dessus de la valeur normale. Les températures à Uccle ont varié entre 1,1°C (23 avril) et 24,1°C (le 6 avril).

Entre octobre 2023 et avril 2024, 690,5 mm de précipitations sont tombés à Uccle. Il s'agit de la quantité la plus élevée pour cette période depuis le début des observations en 1833.

Au total, 81,1 mm de précipitations sont tombés le mois dernier à Uccle, or la valeur normale est de 46,7 mm. "Cette quantité est tombée sur 22 jours", un nombre "élevé", a précisé l'IRM. Les précipitations les plus faibles sont tombées en Lorraine belge, les précipitations les plus importantes au littoral. Onze jours d'orage ont également été enregistrés.

Même si l'IRM n'a pas enregistré un seul jour avec un ciel entièrement couvert le mois dernier, la durée d'ensoleillement n'a été que de 132 heures et 50 minutes à Uccle, contre 171 heures et 16 minutes normalement.

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(01/05/2024 : 12:50)

Un événement pour sensibiliser aux dangers des discours populistes et racistes à Namur 

L'événement se déroulera le vendredi 7 juin sur la place Maurice Servais à Namur. L'idée, à l'avant-veille des élections régionales, fédérales et européennes, est de combattre l'extrême droite et surtout "la banalisation de ses idées nauséabondes", ont indiqué les organisateurs.

"Elle est surtout présente en Flandre avec le Vlaams Belang", a commenté le directeur de l'ASBL d'éducation populaire AFICo, Philippe Tomczyk, à l'initiative de l'événement. "Quasiment un tiers de la population du nord du pays vote pour ce parti, c'est un chiffre glaçant."

Au menu de la soirée du 7 juin: des concerts engagés, mais aussi un village associatif, propice aux échanges d'idées.

"Il y a un travail d'éducation à effectuer et le contact humain est plus intéressant qu'une brochure", a également estimé le secrétaire régional de la FGTB Namur, Sébastien Carboni. "On veut sensibiliser la population aux dangers des discours populistes et racistes. L'événement sera gratuit pour toucher le plus large public possible."

Une deuxième édition de "Nuit blanche contre listes noires" sera organisée le 11 octobre, à deux jours des élections communales.

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(01/05/2024 : 12:47)

"C'est soit le MR, soit nous à la présidence de la Région bruxelloise", martèle A. Laaouej 

"Le MR ne cache pas ses ambitions et annonce la couleur: le bleu. Pas le bleu qui tapisse le ciel des belles matinées d'été, avec quelques rayons de soleil; le bleu glacial de l'austérité, le bleu froid du saut d'index et des coupes sombres dans les soins de santé; celui, égoïste qui a porté la TVA sur le gaz et l'électricité de 6 à 21%, fort heureusement ramené à 6 % par les socialistes", a-t-il déclaré devant les militants socialistes réunis en nombre à la Maison du Peuple de Saint-Gilles.

Pour Ahmed Laaouej, la politique des libéraux francophones se traduira par de la régression, des attaques répétées contre les services publics, les hôpitaux, le transport public et même l'expulsion des familles qui vivent en logement social après deux ans. C'est aussi l'annonce de 5 milliards d'économies dans les soins de santé, la privatisation de Bruxelles-Propreté. "Nul doute qu'ils voudront aussi s'en prendre à la Stib où ils disent aussi vouloir supprimer la gratuité de la Stib pour les jeunes et les seniors, comme pour mieux rétablir les privilèges des plus nantis, avec un insupportable marche ou crève", a-t-il ajouté parmi des propos de la même teneur.

Toutefois, a-t-il dit d'emblée, l'heure est d'abord à la lutte, "face aux vents mauvais de l'extrême droite qui avance partout en Europe comme en Belgique". "Notre priorité doit être de faire barrage à l'immonde et à l'ignoble, avec les syndicats, la société civile, les militants des droits humains et l'ensemble des forces progressistes".

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(01/05/2024 : 12:38)

Trafic ferroviaire interrompu entre Bruxelles et Louvain 

Les trains seront déviés dans la mesure du possible.

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(01/05/2024 : 12:34)

"Les Wallons et les Flamands ne sont pas si différents": Alexander De Croo valorise les liens entre libéraux du nord et du sud, devant les militants MR 

Le Premier ministre était présent à la Mons Arena à Jemappes pour affirmer ce lien qui unit les deux partis, mais aussi les Belges dans leur ensemble. "Ne tombons pas dans le piège : les Wallons et les Flamands ne sont pas si différents. (...) Wallons et Bruxellois, quand ils travaillent, souhaitent qu'on valorise leurs efforts à leur juste valeur. Et qu'on leur offre de la flexibilité de s'organiser et de créer de l'emploi. Comme les Flamands", a-t-il notamment illustré, pointant la N-VA et Bart De Wever "depuis son bureau à Anvers". "Comme si couper en morceaux notre pays pouvait le rendre plus fort. Qui peut croire à ces histoires ? Il est temps de le dire et de le rappeler. Il existe un autre voie."

Alexander De Croo s'en est aussi pris aux socialistes. "Notre pays compte près de 200.000 emplois vacants. Et pour les socialistes il faudrait que celles et ceux qui travaillent, travaillent moins. Qu'on limite la semaine à 32h", a-t-il pointé.

À ses yeux, "nous devons travailler sur nos dépenses publiques, notre budget, pour que notre système reste garanti à l'avenir. Nous aurons besoin de tout le monde pour y parvenir. Et cela passera, pour les libéraux, par une limitation dans le temps des allocations de chômage." Et d'ajouter : "Celles et ceux qui travaillent au quotidien à la richesse de notre pays doivent, en échange, être mieux valorisés. Idem pour les pensions. Il n'y a rien de plus irritant que d'avoir contribué pendant toute sa carrière, pour finir par toucher la même chose que celles et ceux qui n'ont jamais cotisé", a-t-il ajouté, largement applaudi.

Alexander De Croo a aussi vanté les apports libéraux au sein de la coalition Vivaldi. "Nous vivons dans un fantastique pays. Taux d'emploi record. Pouvoir d'achats préservé. Croissance en forte hausse, là où nos voisins patinent. Répartition des richesses, parmi les plus équitables au monde. Malgré le Covid, malgré la crise de l'énergie, Notre pays est plus fort aujourd'hui qu'il y a 5 ans. Et c'est grâce à nous et à toi Sophie (Wilmès)."

Il a aussi remercié le président du MR Georges-Louis Bouchez pour son travail en faveur de la prolongation de dix ans des réacteurs nucléaires de Doel 4 et Tihange 3. "Grâce aux libéraux. Merci George-Louis de n'avoir jamais lâché. Nous pouvons être fiers du bilan libéral de ce gouvernement."

"Nous n'avons pas toujours la même méthode. Mais, aujourd'hui, si j'ai une certitude politique, c'est qu'avec George-Louis, nous partageons cette même priorité. Avec Sophie et avec vous tous aussi !", a conclu le Premier ministre, qui a reçu une standing ovation des militants.

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(01/05/2024 : 12:22)

Les Bruxellois pas si négatifs que cela sur X à propos du plan Good Move 

Good Move, approuvé par le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale en 2020, fait l'objet d'un débat animé depuis des années. La mise en œuvre du plan de mobilité a suscité de nombreuses protestations de la part des automobilistes, Good Move ayant pour but de réduire la suprématie de la voiture à Bruxelles.

Les chercheurs Floriano et Sara Tori du Data Analytics Lab de la VUB ont voulu savoir si les Bruxellois qui s'expriment sur les réseaux sociaux sont vraiment aussi négatifs à l'égard des plans de mobilité mis en place.

Les analystes ont donc examiné 2.000 tweets entre 2019 et 2022 pour connaître le sentiment à l'égard des changements apportés à la politique de mobilité de la ville. Ils estiment que les médias traditionnels sont parfois allés trop loin dans la façon de rapporter les protestations alors que sur X, le sentiment était plus nuancé.

"Cela confirme une fois de plus qu'à côté de la polarisation, il y a aussi un soutien aux mesures pour rendre la ville plus vivable", a déclaré la ministre bruxelloise de la Mobilité, Elke Van den Brandt (Groen).

"Lorsque nous avons introduit la zone 30 ou aménagé des pistes cyclables supplémentaires, de vives protestations se sont élevées, déjà. Au bout d'un certain temps, les gens voient l'amélioration et ne veulent plus revenir en arrière. Il en va de même pour la zone piétonne, qui fait aujourd'hui la fierté de Bruxelles."

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(01/05/2024 : 11:46)

Dernière mise à jour : 30/04/2024 : 21:39