News des médias - RTL info

Toute l'actualité belge - 24h/24 - 7j/7 en texte mais aussi en images et en vidéos

(Belga) Le taux de cellules commerciales vides dans le centre-ville carolo est tendanciellement à la baisse, a indiqué lundi soir lors du conseil communal de la Ville de Charleroi Babette Jandrain, l'échevine carolo du Commerce en réponse à une question qui lui était adressée.
Selon l'élue, qui a indiqué reprendre les chiffres de l'Association de Management du Centre-Ville (AMCV), le taux actuel de cellules commerciales vides dans l'intra-ring carolo est de 29% contre 33,6% en 2020. Et ce malgré le Covid et la crise énergétique qui ont mis en difficulté l'activité commerciale dans les grandes villes. Si le taux de cellules commerciales vides reste élevé à Charleroi, il n'en reste pas moins que la situation a tendance à s'améliorer, a indiqué Babette Jandrain. Les chiffres donnés par l'échevine ont été constatés par la conseillère communale du PTB Sofie Merckx, évoquant une situation de "désolation" concernant le quartier de la Ville Basse et interrogeant par ailleurs la volonté de la Ville de faire de certaines cellules vides des logements. (Belga)

(Belga) Le taux de cellules commerciales vides dans le centre-ville carolo est tendanciellement à la baisse, a indiqué lundi soir lors du conseil communal de la Ville de Charleroi Babette Jandrain, l'échevine carolo du Commerce en réponse à une question qui lui était adressée.
Selon l'élue, qui a indiqué reprendre les chiffres de l'Association de Management du Centre-Ville (AMCV), le taux actuel de cellules commerciales vides dans l'intra-ring carolo est de 29% contre 33,6% en 2020. Et ce malgré le Covid et la crise énergétique qui ont mis en difficulté l'activité commerciale dans les grandes villes. Si le taux de cellules commerciales vides reste élevé à Charleroi, il n'en reste pas moins que la situation a tendance à s'améliorer, a indiqué Babette Jandrain. Les chiffres donnés par l'échevine ont été constatés par la conseillère communale du PTB Sofie Merckx, évoquant une situation de "désolation" concernant le quartier de la Ville Basse et interrogeant par ailleurs la volonté de la Ville de faire de certaines cellules vides des logements. (Belga)

(Belga) La reine Mathilde et la princesse Élisabeth effectueront une visite de travail en Égypte du 14 au 16 mars, a indiqué le Palais royal dans un communiqué lundi soir.
"Cette visite marquera l'intérêt historique de la famille royale pour l'Égypte antique et rendra hommage à la reine Élisabeth, dont l'intérêt et la passion sont à l'origine de l'épanouissement de l'égyptologie en Belgique. La Reine et la Princesse visiteront plusieurs sites que la reine Élisabeth a elle-même visités lors de ses voyages en Égypte, notamment le tombeau de Toutankhamon. Au Caire, elles assisteront également au vernissage d'une exposition consacrée à la reine Élisabeth et à l'égyptologie belge", peut-on lire dans le communiqué. La Reine et la Princesse visiteront aussi différents sites archéologiques à Louxor et ses environs, où des institutions et des universités belges effectuent des fouilles. Cette visite de travail commémore par ailleurs plusieurs anniversaires célébrés en 2022 et 2023: le 200e anniversaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion, les centenaires de la découverte du tombeau de Toutankhamon et de sa visite par la reine Élisabeth, le 125e anniversaire de l'émergence de l'égyptologie belge et le 75e anniversaire de la mort de l'égyptologue belge Jean Capart. (Belga)

(Belga) La reine Mathilde et la princesse Élisabeth effectueront une visite de travail en Égypte du 14 au 16 mars, a indiqué le Palais royal dans un communiqué lundi soir.
"Cette visite marquera l'intérêt historique de la famille royale pour l'Égypte antique et rendra hommage à la reine Élisabeth, dont l'intérêt et la passion sont à l'origine de l'épanouissement de l'égyptologie en Belgique. La Reine et la Princesse visiteront plusieurs sites que la reine Élisabeth a elle-même visités lors de ses voyages en Égypte, notamment le tombeau de Toutankhamon. Au Caire, elles assisteront également au vernissage d'une exposition consacrée à la reine Élisabeth et à l'égyptologie belge", peut-on lire dans le communiqué. La Reine et la Princesse visiteront aussi différents sites archéologiques à Louxor et ses environs, où des institutions et des universités belges effectuent des fouilles. Cette visite de travail commémore par ailleurs plusieurs anniversaires célébrés en 2022 et 2023: le 200e anniversaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion, les centenaires de la découverte du tombeau de Toutankhamon et de sa visite par la reine Élisabeth, le 125e anniversaire de l'émergence de l'égyptologie belge et le 75e anniversaire de la mort de l'égyptologue belge Jean Capart. (Belga)

(Belga) Le conseil communal de la Ville de Charleroi a adopté lundi une motion faisant de Charleroi "une ville antifasciste" et consacrant l'existence d'une "coalition antifasciste" composée des partis politiques carolos, des syndicats, d'associations et de membres de la société civile.
Cette "coalition antifasciste" est le fruit de discussions entamées dans un contexte de montée générale des idées d'extrême droite et à la suite des incidents qui sont survenus le 25 janvier 2020 à Charleroi à l'occasion d'une mobilisation d'un front antifasciste contre la tenue dans la métropole d'une réunion d'un nouveau parti d'extrême droite. Ce jour-là, selon les manifestants antifascistes, la police avait fait usage contre eux de sprays, d'autopompes et de coups de matraques même pour les disperser. Ce qui avait provoqué un certain émoi, y compris au sein de la classe politique carolo. La motion donne à la coalition antifasciste quelques objectifs généraux, comme celui "d'empêcher par tous les moyens légaux la diffusion de propos incitant à la haine, au racisme, à l'antisémitisme, au sexisme, à la discrimination relative à l'orientation sexuelle, ouvertement fasciste et xénophobe, sur le territoire de Charleroi" ou celui de relayer l'information "lorsqu'elle concerne un événement susceptible d'inciter à la haine, au racisme, à l'antisémitisme, au sexisme, ouvertement fasciste et xénophobe". (Belga)

(Belga) Le conseil communal de la Ville de Charleroi a adopté lundi une motion faisant de Charleroi "une ville antifasciste" et consacrant l'existence d'une "coalition antifasciste" composée des partis politiques carolos, des syndicats, d'associations et de membres de la société civile.
Cette "coalition antifasciste" est le fruit de discussions entamées dans un contexte de montée générale des idées d'extrême droite et à la suite des incidents qui sont survenus le 25 janvier 2020 à Charleroi à l'occasion d'une mobilisation d'un front antifasciste contre la tenue dans la métropole d'une réunion d'un nouveau parti d'extrême droite. Ce jour-là, selon les manifestants antifascistes, la police avait fait usage contre eux de sprays, d'autopompes et de coups de matraques même pour les disperser. Ce qui avait provoqué un certain émoi, y compris au sein de la classe politique carolo. La motion donne à la coalition antifasciste quelques objectifs généraux, comme celui "d'empêcher par tous les moyens légaux la diffusion de propos incitant à la haine, au racisme, à l'antisémitisme, au sexisme, à la discrimination relative à l'orientation sexuelle, ouvertement fasciste et xénophobe, sur le territoire de Charleroi" ou celui de relayer l'information "lorsqu'elle concerne un événement susceptible d'inciter à la haine, au racisme, à l'antisémitisme, au sexisme, ouvertement fasciste et xénophobe". (Belga)

(Belga) L'ex-député européen Mark Demesmaeker, désormais sénateur coopté N-VA, sera la tête de liste du parti nationaliste pour les élections communales d'octobre 2024 à Hal (Brabant flamand), a-t-il indiqué lundi, confirmant des informations de presse.
M. Demesmaeker est conseiller communal à Hal depuis 2007 et y a été échevin durant six ans. La N-VA a terminé à deux reprises, lors des scrutins communaux de 2012 et 2018, comme premier parti de la commune. M. Demesmaeker a affirmé lundi toujours avoir cette ambition. "Nous avons une équipe jeune et soudée, avec expertise et vision. Je vise une progression", a-t-il dit. Il s'est dit convaincu que le changement de législation en Flandre - qui prévoit que le plus grand parti dispose d'un droit d'initiative pour former une coalition communale et que le candidat du plus grand groupe ayant recueilli le plus de voix de préférence devienne bourgmestre - lui offre un solide avantage. "Nous avons de bonnes chances, a-t-il souligné. L'élu nationaliste a affirmé vouloir se concentrer sur des thèmes comme l'urbanisation de Hal et la politique en matière de langue, en évoquant la "francisation de la ville". (Belga)

(Belga) L'ex-député européen Mark Demesmaeker, désormais sénateur coopté N-VA, sera la tête de liste du parti nationaliste pour les élections communales d'octobre 2024 à Hal (Brabant flamand), a-t-il indiqué lundi, confirmant des informations de presse.
M. Demesmaeker est conseiller communal à Hal depuis 2007 et y a été échevin durant six ans. La N-VA a terminé à deux reprises, lors des scrutins communaux de 2012 et 2018, comme premier parti de la commune. M. Demesmaeker a affirmé lundi toujours avoir cette ambition. "Nous avons une équipe jeune et soudée, avec expertise et vision. Je vise une progression", a-t-il dit. Il s'est dit convaincu que le changement de législation en Flandre - qui prévoit que le plus grand parti dispose d'un droit d'initiative pour former une coalition communale et que le candidat du plus grand groupe ayant recueilli le plus de voix de préférence devienne bourgmestre - lui offre un solide avantage. "Nous avons de bonnes chances, a-t-il souligné. L'élu nationaliste a affirmé vouloir se concentrer sur des thèmes comme l'urbanisation de Hal et la politique en matière de langue, en évoquant la "francisation de la ville". (Belga)

Les femmes sont de plus en plus présentes sur le marché du travail. On est passé de 50% au milieu des années 90 à 67% en 2021 selon des chiffres de la Banque nationale de Belgique et du Comité supérieur de l'emploi. Comment explique-t-on cette progression ?
La première explication tient à la réussite à l’école. 47 % des femmes terminent avec succès leurs études supérieures contre 38 % des hommes. Une véritable porte d’accès à des métiers porteurs d’emploi. C’est notamment le cas du secteur des services où 67 % des postes sont occupés par des femmes. C’est aussi largement le cas dans l’enseignement avec 70 % ou encore l’action sociale avec 78%. Autant d’emplois qui renforcent la présence des femmes sur le marché du travail au fil des années.
Ces chiffres cachent cependant de grandes disparités notamment dans l’évolution des carrières. Le tournant de la carrière des femmes, c’est notamment la maternité. Lorsqu'un enfant arrive dans la famille, ce sont bien souvent les femmes qui ajustent leur temps de travail. Aujourd’hui, le temps partiel touche 78 % des femmes.
Cela a des conséquences sur les carrières et sur les promotions. Il en résulte un écart salarial important. À métier équivalent, les femmes gagnent 8, 5 % de moins que les hommes.
En fin de carrière, cela a aussi des conséquences sur la pension. L’écart du montant des pensions entre les hommes et les femmes est de 23 %. Pour pallier ces disparités, le chantier est vaste. Et cela passe notamment par des changements de mentalités.

Les femmes sont de plus en plus présentes sur le marché du travail. On est passé de 50% au milieu des années 90 à 67% en 2021 selon des chiffres de la Banque nationale de Belgique et du Comité supérieur de l'emploi. Comment explique-t-on cette progression ?
La première explication tient à la réussite à l’école. 47 % des femmes terminent avec succès leurs études supérieures contre 38 % des hommes. Une véritable porte d’accès à des métiers porteurs d’emploi. C’est notamment le cas du secteur des services où 67 % des postes sont occupés par des femmes. C’est aussi largement le cas dans l’enseignement avec 70 % ou encore l’action sociale avec 78%. Autant d’emplois qui renforcent la présence des femmes sur le marché du travail au fil des années.
Ces chiffres cachent cependant de grandes disparités notamment dans l’évolution des carrières. Le tournant de la carrière des femmes, c’est notamment la maternité. Lorsqu'un enfant arrive dans la famille, ce sont bien souvent les femmes qui ajustent leur temps de travail. Aujourd’hui, le temps partiel touche 78 % des femmes.
Cela a des conséquences sur les carrières et sur les promotions. Il en résulte un écart salarial important. À métier équivalent, les femmes gagnent 8, 5 % de moins que les hommes.
En fin de carrière, cela a aussi des conséquences sur la pension. L’écart du montant des pensions entre les hommes et les femmes est de 23 %. Pour pallier ces disparités, le chantier est vaste. Et cela passe notamment par des changements de mentalités.

Depuis plusieurs semaines, à quelques exceptions près, la météo n'est pas vraiment au beau fixe. Nous manquons de lumière, les chiffres le prouvent. Depuis le début de l'année, nous avons connu plusieurs journées où la durée d'ensoleillement a été de... 0 minute. Pour ce début 2023, le soleil ne s'est montré que 28h et 4 minutes. Et au vu des prévisions pour le reste du mois, janvier sera sombre.
Mercredi, le ciel sera couvert avec un temps souvent sec, mais ça se compliquera par contre dans la soirée de mercredi à jeudi. Un front froid va arriver avec des précipitations qui vont tomber sur le sol encore gelé. On pourrait donc avoir des routes très glissantes et, peut-être, quelques flocons de neige, nous indiquait Stephan Van Bellighen. À l'arrière de cette perturbation, il y aura de nouveau un ciel gris et puis le mercure remontera. On aura plutôt de la pluie avec des maxima pour le début du week-end compris entre 1 et 7 degrés.
Je fais du sport, de la zumba
Du gris, de la pluie... Il faut donc s'attendre à un temps de saison. Pour oublier la météo maussade et garder le moral, chacun ses astuces. "Je fais du sport, de la zumba, de la marche", confie une personne rencontrée. "Je fais du vélo tous les jours", ajoute une autre.
Et en effet, se bouger et se lever tôt est essentiel comme nous l'explique Dimitri Haikin, psychologue. "C'est important de rester dans les rythmes biologiques que la nature nous a offerts pour sécréter de la dopamine, des endorphines, se lever de bonne humeur si possible le matin, envisager les choses plaisantes de la journée", insiste le professionnel.
Garder un rythme et aller à la rencontre des autres semblent être des solutions pour lutter contre cette météo peu favorable. "Toutes les études sur le bonheur que l'on fait actuellement, démontrent que lorsque l'on a des bonnes relations sociales, on est plus joyeux, on a un bon équilibre. On se sent plus heureux dans la vie", souligne Dimitri Haikin, psychologue.

Depuis plusieurs semaines, à quelques exceptions près, la météo n'est pas vraiment au beau fixe. Nous manquons de lumière, les chiffres le prouvent. Depuis le début de l'année, nous avons connu plusieurs journées où la durée d'ensoleillement a été de... 0 minute. Pour ce début 2023, le soleil ne s'est montré que 28h et 4 minutes. Et au vu des prévisions pour le reste du mois, janvier sera sombre.
Mercredi, le ciel sera couvert avec un temps souvent sec, mais ça se compliquera par contre dans la soirée de mercredi à jeudi. Un front froid va arriver avec des précipitations qui vont tomber sur le sol encore gelé. On pourrait donc avoir des routes très glissantes et, peut-être, quelques flocons de neige, nous indiquait Stephan Van Bellighen. À l'arrière de cette perturbation, il y aura de nouveau un ciel gris et puis le mercure remontera. On aura plutôt de la pluie avec des maxima pour le début du week-end compris entre 1 et 7 degrés.
Je fais du sport, de la zumba
Du gris, de la pluie... Il faut donc s'attendre à un temps de saison. Pour oublier la météo maussade et garder le moral, chacun ses astuces. "Je fais du sport, de la zumba, de la marche", confie une personne rencontrée. "Je fais du vélo tous les jours", ajoute une autre.
Et en effet, se bouger et se lever tôt est essentiel comme nous l'explique Dimitri Haikin, psychologue. "C'est important de rester dans les rythmes biologiques que la nature nous a offerts pour sécréter de la dopamine, des endorphines, se lever de bonne humeur si possible le matin, envisager les choses plaisantes de la journée", insiste le professionnel.
Garder un rythme et aller à la rencontre des autres semblent être des solutions pour lutter contre cette météo peu favorable. "Toutes les études sur le bonheur que l'on fait actuellement, démontrent que lorsque l'on a des bonnes relations sociales, on est plus joyeux, on a un bon équilibre. On se sent plus heureux dans la vie", souligne Dimitri Haikin, psychologue.

Il ne s'opposera pas à la demande de levée d'immunité parlementaire. "Je ne me cacherai pas derrière mon immunité", écrit-il dans une lettre adressée à la Commission.
Mais en même temps, il ne s’expliquera devant ses pairs. Ce qu’il réclame depuis un moment déjà, c’est d’être entendu par les autorités judiciaires. Et on comprend mal que cela ne soit pas encore fait. Dans cette lettre, il note : "Je n’ai toujours pas le droit de me défendre… Je n’ai jamais reçu d’argent ou de cadeaux en échange de mes opinions politiques".
Le 2e député européen dont le sort est discuté ces lundi et mardi est Andréa Cozzolino, l'Italien suspecté d’avoir reçu des cadeaux du Maroc.
Un rapport sera rédigé à l’issue des débats puis il sera voté en Commission des affaires juridiques, soit à la fin de cette semaine ou au début de la suivante. Ensuite, les levées d’immunité devront être approuvées par l'Assemblée plénière, vraisemblablement début février. Et là, Marc Tarabella risque gros. Privé d’immunité, il pourrait faire un tour par la prison.

Il ne s'opposera pas à la demande de levée d'immunité parlementaire. "Je ne me cacherai pas derrière mon immunité", écrit-il dans une lettre adressée à la Commission.
Mais en même temps, il ne s’expliquera devant ses pairs. Ce qu’il réclame depuis un moment déjà, c’est d’être entendu par les autorités judiciaires. Et on comprend mal que cela ne soit pas encore fait. Dans cette lettre, il note : "Je n’ai toujours pas le droit de me défendre… Je n’ai jamais reçu d’argent ou de cadeaux en échange de mes opinions politiques".
Le 2e député européen dont le sort est discuté ces lundi et mardi est Andréa Cozzolino, l'Italien suspecté d’avoir reçu des cadeaux du Maroc.
Un rapport sera rédigé à l’issue des débats puis il sera voté en Commission des affaires juridiques, soit à la fin de cette semaine ou au début de la suivante. Ensuite, les levées d’immunité devront être approuvées par l'Assemblée plénière, vraisemblablement début février. Et là, Marc Tarabella risque gros. Privé d’immunité, il pourrait faire un tour par la prison.

Le gouvernement a pris un arrêté royal permettant la limitation des exportations de médicaments en cas de crise, a annoncé le ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke, lundi matin, sur LN24.
"Il y a un souci important en termes de pénurie de médicaments, en Belgique comme dans d'autres pays. Nous avons donc publié un arrêté royal nous permettant de limiter les exportations en cas d'indisponibilité, si ce sont des médicaments essentiels, s'il y a urgence. Il y a un devoir chez les grossistes-répartiteurs de fournir d'abord nos pharmaciens", a-t-il expliqué.
L'arrêté royal publié vendredi prévoit un cadre légal pour interdire temporairement l'exportation de certains médicaments essentiels, sur base d'une liste avec critères précis. Les médicaments figurant sur cette liste ne pourront temporairement plus être exportés vers d'autres pays en cas de pénurie en Belgique, a ensuite précisé le ministre dans un communiqué.
A ce jour, une telle liste n'a pas encore été arrêtée et publiée mais le ministre veut se préparer dans le cas où la pression sur l'approvisionnement en médicaments en Belgique augmenterait encore. L'interdiction s'appliquera aux médicaments qui sont urgents et nécessaires, qui ont un impact majeur sur la vie du patient et pour lesquels aucun autre médicament autorisé ayant le même effet thérapeutique n'est disponible.
"À la vitesse supérieure"
L'interdiction d'export aura lieu lorsque l'indisponibilité de ces médicaments essentiels sera cataloguée par l'Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS) comme "probable" ou "certaine" pendant au moins un mois, précise le communiqué. "Il est de notre responsabilité de veiller à ce que le traitement des personnes avec des médicaments parfois vitaux ne soit pas interrompu. Une interdiction temporaire des exportations permettra d'atteindre cet objectif", a souligné M. Vandenbroucke.
La pression sur les stocks de médicaments est observée dans toute l'Europe. Le ministre travaille également à améliorer l'échange d'informations sur les stocks de médicaments entre les pharmacies, les grossistes et l'industrie pharmaceutique afin d'être en mesure d'intervenir rapidement si une pénurie menaçait. Il estime que l'Europe "devra également passer à la vitesse supérieure" dans ce domaine.
Sur LN24, le ministre est enfin revenu sur le manque de médecins généralistes. "Nous allons investir des sommes importantes en médecine générale mais aussi travailler à des réformes au niveau de l'organisation. D'ici mars ou avril, il y aura des propositions de renforcement des capacités en médecine générale", avec des efforts budgétaires pour notamment recruter des assistants, des infirmiers en soutien des généralistes.

Le gouvernement a pris un arrêté royal permettant la limitation des exportations de médicaments en cas de crise, a annoncé le ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke, lundi matin, sur LN24.
"Il y a un souci important en termes de pénurie de médicaments, en Belgique comme dans d'autres pays. Nous avons donc publié un arrêté royal nous permettant de limiter les exportations en cas d'indisponibilité, si ce sont des médicaments essentiels, s'il y a urgence. Il y a un devoir chez les grossistes-répartiteurs de fournir d'abord nos pharmaciens", a-t-il expliqué.
L'arrêté royal publié vendredi prévoit un cadre légal pour interdire temporairement l'exportation de certains médicaments essentiels, sur base d'une liste avec critères précis. Les médicaments figurant sur cette liste ne pourront temporairement plus être exportés vers d'autres pays en cas de pénurie en Belgique, a ensuite précisé le ministre dans un communiqué.
A ce jour, une telle liste n'a pas encore été arrêtée et publiée mais le ministre veut se préparer dans le cas où la pression sur l'approvisionnement en médicaments en Belgique augmenterait encore. L'interdiction s'appliquera aux médicaments qui sont urgents et nécessaires, qui ont un impact majeur sur la vie du patient et pour lesquels aucun autre médicament autorisé ayant le même effet thérapeutique n'est disponible.
"À la vitesse supérieure"
L'interdiction d'export aura lieu lorsque l'indisponibilité de ces médicaments essentiels sera cataloguée par l'Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS) comme "probable" ou "certaine" pendant au moins un mois, précise le communiqué. "Il est de notre responsabilité de veiller à ce que le traitement des personnes avec des médicaments parfois vitaux ne soit pas interrompu. Une interdiction temporaire des exportations permettra d'atteindre cet objectif", a souligné M. Vandenbroucke.
La pression sur les stocks de médicaments est observée dans toute l'Europe. Le ministre travaille également à améliorer l'échange d'informations sur les stocks de médicaments entre les pharmacies, les grossistes et l'industrie pharmaceutique afin d'être en mesure d'intervenir rapidement si une pénurie menaçait. Il estime que l'Europe "devra également passer à la vitesse supérieure" dans ce domaine.
Sur LN24, le ministre est enfin revenu sur le manque de médecins généralistes. "Nous allons investir des sommes importantes en médecine générale mais aussi travailler à des réformes au niveau de l'organisation. D'ici mars ou avril, il y aura des propositions de renforcement des capacités en médecine générale", avec des efforts budgétaires pour notamment recruter des assistants, des infirmiers en soutien des généralistes.

(Belga) La rénovation de la gare de formation des trains de marchandises dans le port de Zeebrugge est terminée. La modernisation aura demandé un budget de 133 millions d'euros et duré 12 ans. "Les plus grands travaux ferroviaires jamais effectués dans le port de Zeebrugge", a indiqué le gestionnaire du réseau ferroviaire Infrabel.
La nouvelle gare dispose de 18 voies, représentant plus de 18 kilomètres de rails et un million de kilogrammes de métal. Elle se compose de deux gros faisceaux de voies: le faisceau de départ et d'arrivée Zwankendamme (prêt depuis fin 2018) et le faisceau de tri Zeebrugge. Il y a par ailleurs de longues voies de 750 mètres permettant de traiter des convois comptant jusqu'à 45 wagons. Les deux faisceaux sont situés le long de la ligne voyageurs Bruges-Zeebrugge. Les trains de marchandises croiseront donc moins souvent cette ligne. "C'est un plus tant pour la sécurité, que pour la capacité et la ponctualité des trafics voyageurs et marchandises", explique Infrabel. Le gestionnaire a précisé que des mesures ont été prises afin de limiter les nuisances pour les riverains du village de Zwankendamme, comme des zones tampons, des aiguillages peu bruyants et des amortisseurs et patins de rail qui absorbent le bruit et les vibrations. (Belga)

(Belga) La rénovation de la gare de formation des trains de marchandises dans le port de Zeebrugge est terminée. La modernisation aura demandé un budget de 133 millions d'euros et duré 12 ans. "Les plus grands travaux ferroviaires jamais effectués dans le port de Zeebrugge", a indiqué le gestionnaire du réseau ferroviaire Infrabel.
La nouvelle gare dispose de 18 voies, représentant plus de 18 kilomètres de rails et un million de kilogrammes de métal. Elle se compose de deux gros faisceaux de voies: le faisceau de départ et d'arrivée Zwankendamme (prêt depuis fin 2018) et le faisceau de tri Zeebrugge. Il y a par ailleurs de longues voies de 750 mètres permettant de traiter des convois comptant jusqu'à 45 wagons. Les deux faisceaux sont situés le long de la ligne voyageurs Bruges-Zeebrugge. Les trains de marchandises croiseront donc moins souvent cette ligne. "C'est un plus tant pour la sécurité, que pour la capacité et la ponctualité des trafics voyageurs et marchandises", explique Infrabel. Le gestionnaire a précisé que des mesures ont été prises afin de limiter les nuisances pour les riverains du village de Zwankendamme, comme des zones tampons, des aiguillages peu bruyants et des amortisseurs et patins de rail qui absorbent le bruit et les vibrations. (Belga)

La SNCB a présenté lundi sa nouvelle application qui permet aux voyageurs à mobilité réduite de demander une assistance pour prendre le train. Ce nouveau canal qui se veut simple d'utilisation, s'ajoute aux options déjà existantes que sont le téléphone, le site internet de la SNCB et ses réseaux sociaux.
L'an dernier, plus de 48.000 voyageurs ont demandé une assistance aux chemins de fer belges. La plupart du temps par téléphone. La demande pourra désormais se faire via l'application "SNCB Assist". L'assistance aux PMR peut être apportée dans 132 gares. Pour les 41 gares les plus fréquentées, elle peut être introduite jusqu'à 3h avant le voyage. Pour les autres, le délai est de 24h.
La nouvelle application doit faciliter la vie des voyageurs à mobilité réduite: elle fonctionne avec un login personnel de sorte que le voyageur ne doit pas remplir à chaque fois ses coordonnées. L'application se souvient également de l'aide nécessaire (rampe ou non, par exemple).
La planification des voyages est directement adaptée pour ne proposer que les gares où l'assistance nécessaire peut être apportée. Plusieurs demandes (jusqu'à 30 jours avant le départ) peuvent être introduites en même temps, ce qui peut s'avérer utile pour les navetteurs réguliers.
"SNCB Assist" a été développée en collaboration avec des organisations dont Konekt, un centre d'expertise qui s'engage pour l'inclusion des personnes porteuses de handicaps. "Un meilleur service pour l'ensemble de nos voyageurs constitue l'une des priorités de la SNCB. Le lancement de l'app SNCB Assist en est un exemple concret", souligne la CEO Sophie Dutordoir.
"La SNCB met tout en oeuvre pour que, à terme, tous nos voyageurs puissent prendre le train de la manière la plus autonome possible. À cet égard, le nombre de gares accessibles sera quasi doublé d'ici 2032. Nous poursuivons aussi l'acquisition de matériel roulant pour que chaque train ait, au minimum, une voiture accessible en toute autonomie, afin que les voyageurs à mobilité réduite puissent aussi embarquer dans les trains en toute sécurité et confort."

La SNCB a présenté lundi sa nouvelle application qui permet aux voyageurs à mobilité réduite de demander une assistance pour prendre le train. Ce nouveau canal qui se veut simple d'utilisation, s'ajoute aux options déjà existantes que sont le téléphone, le site internet de la SNCB et ses réseaux sociaux.
L'an dernier, plus de 48.000 voyageurs ont demandé une assistance aux chemins de fer belges. La plupart du temps par téléphone. La demande pourra désormais se faire via l'application "SNCB Assist". L'assistance aux PMR peut être apportée dans 132 gares. Pour les 41 gares les plus fréquentées, elle peut être introduite jusqu'à 3h avant le voyage. Pour les autres, le délai est de 24h.
La nouvelle application doit faciliter la vie des voyageurs à mobilité réduite: elle fonctionne avec un login personnel de sorte que le voyageur ne doit pas remplir à chaque fois ses coordonnées. L'application se souvient également de l'aide nécessaire (rampe ou non, par exemple).
La planification des voyages est directement adaptée pour ne proposer que les gares où l'assistance nécessaire peut être apportée. Plusieurs demandes (jusqu'à 30 jours avant le départ) peuvent être introduites en même temps, ce qui peut s'avérer utile pour les navetteurs réguliers.
"SNCB Assist" a été développée en collaboration avec des organisations dont Konekt, un centre d'expertise qui s'engage pour l'inclusion des personnes porteuses de handicaps. "Un meilleur service pour l'ensemble de nos voyageurs constitue l'une des priorités de la SNCB. Le lancement de l'app SNCB Assist en est un exemple concret", souligne la CEO Sophie Dutordoir.
"La SNCB met tout en oeuvre pour que, à terme, tous nos voyageurs puissent prendre le train de la manière la plus autonome possible. À cet égard, le nombre de gares accessibles sera quasi doublé d'ici 2032. Nous poursuivons aussi l'acquisition de matériel roulant pour que chaque train ait, au minimum, une voiture accessible en toute autonomie, afin que les voyageurs à mobilité réduite puissent aussi embarquer dans les trains en toute sécurité et confort."

Le mardi 17 janvier 2023 vers 19h, une bagarre a éclaté dans la rue du Compas à Anderlecht. Suite à cela, un jeune homme a été poursuivi par plusieurs autres personnes dans la rue Heyvaert. Arrivés au parking du n° 43 de la rue de Liverpool, l'homme a reçu plusieurs coups et a finalement succombé des suites de ses blessures.
Dans le cadre de cette enquête, la police recherche des personnes qui connaissaient la victime. Les enquêteurs cherchent aussi à retrouver toute personne ayant été témoin de la bagarre située rue du Compas et de l'agression sur le parking dans la rue de Liverpool.
La discrétion est assurée. Si vous connaissez la victime ou si vous avez des informations sur ce fait, veuillez prendre contact avec les enquêteurs via avisderecherche@police.belgium.eu.
Les témoignages peuvent aussi parvenir via le numéro gratuit 0800 30 300. Cet avis est disponible sur www.police.be.

Le mardi 17 janvier 2023 vers 19h, une bagarre a éclaté dans la rue du Compas à Anderlecht. Suite à cela, un jeune homme a été poursuivi par plusieurs autres personnes dans la rue Heyvaert. Arrivés au parking du n° 43 de la rue de Liverpool, l'homme a reçu plusieurs coups et a finalement succombé des suites de ses blessures.
Dans le cadre de cette enquête, la police recherche des personnes qui connaissaient la victime. Les enquêteurs cherchent aussi à retrouver toute personne ayant été témoin de la bagarre située rue du Compas et de l'agression sur le parking dans la rue de Liverpool.
La discrétion est assurée. Si vous connaissez la victime ou si vous avez des informations sur ce fait, veuillez prendre contact avec les enquêteurs via avisderecherche@police.belgium.eu.
Les témoignages peuvent aussi parvenir via le numéro gratuit 0800 30 300. Cet avis est disponible sur www.police.be.

Les communes de Libin et Tellin, en province de Luxembourg, ont levé aujourd'hui leurs dernières restrictions concernant l'utilisation de l'eau. 19 communes avaient imposé des restrictions pendant l'été. Les deux dernières les ont donc levées aujourd'hui.
A Libin, il y a deux éléments d’explication. Tout d’abord, un problème technique ces dernières semaines, au niveau de certaines conduites. Et puis, surtout même s’il a plu beaucoup ces dernières semaines, il faut toujours un certain temps, pour que les réservoirs d’eau se remplissent. Il y a un décalage.
Par exemple, le réservoir d’eau de Villance alimente deux villages de la commune de Libin. Sa capacité maximale est de 68 m3 et en été, ce réservoir était totalement sec. Il est désormais complètement rempli. Un peu partout en Wallonie, les nappes phréatiques sont en train de se remplir, les niveaux grimpent. Le service public de Wallonie confirme que les niveaux sont à présent normaux pour la saison. Mais normaux, cela ne veut pas dire suffisant pour avoir un été serein. Il faut encore qu’il pleuve dans les prochaines semaines, dans les prochains mois. Un élément intéressant, c’est la neige qui tombe pour l’instant et qui va permettre de faire grimper progressivement les niveaux d’eau.

Les communes de Libin et Tellin, en province de Luxembourg, ont levé aujourd'hui leurs dernières restrictions concernant l'utilisation de l'eau. 19 communes avaient imposé des restrictions pendant l'été. Les deux dernières les ont donc levées aujourd'hui.
A Libin, il y a deux éléments d’explication. Tout d’abord, un problème technique ces dernières semaines, au niveau de certaines conduites. Et puis, surtout même s’il a plu beaucoup ces dernières semaines, il faut toujours un certain temps, pour que les réservoirs d’eau se remplissent. Il y a un décalage.
Par exemple, le réservoir d’eau de Villance alimente deux villages de la commune de Libin. Sa capacité maximale est de 68 m3 et en été, ce réservoir était totalement sec. Il est désormais complètement rempli. Un peu partout en Wallonie, les nappes phréatiques sont en train de se remplir, les niveaux grimpent. Le service public de Wallonie confirme que les niveaux sont à présent normaux pour la saison. Mais normaux, cela ne veut pas dire suffisant pour avoir un été serein. Il faut encore qu’il pleuve dans les prochaines semaines, dans les prochains mois. Un élément intéressant, c’est la neige qui tombe pour l’instant et qui va permettre de faire grimper progressivement les niveaux d’eau.

Marie-Rose et son mari ont été victime de l’arnaque la semaine passée. 575 euros ont été prélevés de leur compte et un logiciel espion installé sur leur ordinateur. "C'est honteux, c'est honteux. On est des petites gens, on n'a pas besoin de nous voler comme ça" s'indigne Marie-Rose, victime de l'arnaque. Tout est parti d’un coup de téléphone. Leur interlocuteur demande d’allumer leur ordinateur car ils avaient soi-disant été piratés. Mais c’est en fait l’arnaqueur qui a pris les commandes de la machine à distance pour tout bloquer. "Ils sont vraiment forts parce qu'ils savent vraiment comment embobiner les gens" poursuit la victime. Pour la fausse réparation de son ordinateur, les arnaqueurs demandent 6,50 euros à Marie-Rose et son mari. "Et il l'a cru.." explique Marie-Rose.
Une plainte a été déposée
Marie-Rose et son mari ont déposé plainte et fait appel à un informaticien. "Quand on allume le PC, la session commence. Ils reçoivent l'information et ils prennent le contrôle de l'ordinateur" explique Danny, informaticien. D'autres de ses clients ont subi la même arnaque. "C'est radical, il faut formater l'ordinateur complètement, repartir à zéros" précise Danny. Les arnaqueurs sont en effet de mieux en mieux rôdés et bien informés sur leurs victimes. "Grâce au darkweb, ils ont accès à plusieurs informations et peuvent ainsi cibler n'importe qui. Leurs techniques sont de plus en plus précises", explique Olivier Bogaert, commissaire à la computer unit de la police fédérale.
Les fraudes informatiques sont de plus en plus fréquentes. La police fédérale a comptabilisé 35 000 plaintes en 2020 contre plus de 39 000 en 2021.

Marie-Rose et son mari ont été victime de l’arnaque la semaine passée. 575 euros ont été prélevés de leur compte et un logiciel espion installé sur leur ordinateur. "C'est honteux, c'est honteux. On est des petites gens, on n'a pas besoin de nous voler comme ça" s'indigne Marie-Rose, victime de l'arnaque. Tout est parti d’un coup de téléphone. Leur interlocuteur demande d’allumer leur ordinateur car ils avaient soi-disant été piratés. Mais c’est en fait l’arnaqueur qui a pris les commandes de la machine à distance pour tout bloquer. "Ils sont vraiment forts parce qu'ils savent vraiment comment embobiner les gens" poursuit la victime. Pour la fausse réparation de son ordinateur, les arnaqueurs demandent 6,50 euros à Marie-Rose et son mari. "Et il l'a cru.." explique Marie-Rose.
Une plainte a été déposée
Marie-Rose et son mari ont déposé plainte et fait appel à un informaticien. "Quand on allume le PC, la session commence. Ils reçoivent l'information et ils prennent le contrôle de l'ordinateur" explique Danny, informaticien. D'autres de ses clients ont subi la même arnaque. "C'est radical, il faut formater l'ordinateur complètement, repartir à zéros" précise Danny. Les arnaqueurs sont en effet de mieux en mieux rôdés et bien informés sur leurs victimes. "Grâce au darkweb, ils ont accès à plusieurs informations et peuvent ainsi cibler n'importe qui. Leurs techniques sont de plus en plus précises", explique Olivier Bogaert, commissaire à la computer unit de la police fédérale.
Les fraudes informatiques sont de plus en plus fréquentes. La police fédérale a comptabilisé 35 000 plaintes en 2020 contre plus de 39 000 en 2021.

Dans les prochains jours, on aura une masse d'air beaucoup moins froide que le week-end dernier. Le ciel sera couvert et il y aura quelques brouillards givrants de nuit. Ce mardi, les températures seront comprises entre -1 et 4 degrés.
Le gel sera par contre généralisé dans la nuit de mardi à mercredi avec des minima de 0 à -5°, avec du brouillard givrant de nouveau.
Mercredi, le ciel sera couvert avec un temps souvent sec mais ça se compliquera par contre dans la soirée de mercredi à jeudi. Un front froid va arriver avec des précipitations qui vont tomber sur le sol encore gelé. On pourrait donc avoir des routes très glissantes et, peut-être, quelques flocons de neige.
À l'arrière de cette perturbation, il y aura de nouveau un ciel gris et puis le mercure remontera. On aura plutôt de la pluie avec des maxima pour le début du week-end compris entre 1 et 7 degrés.
Il n'y aura donc plus l'épisode que nous avons connu ce week-end.

Dans les prochains jours, on aura une masse d'air beaucoup moins froide que le week-end dernier. Le ciel sera couvert et il y aura quelques brouillards givrants de nuit. Ce mardi, les températures seront comprises entre -1 et 4 degrés.
Le gel sera par contre généralisé dans la nuit de mardi à mercredi avec des minima de 0 à -5°, avec du brouillard givrant de nouveau.
Mercredi, le ciel sera couvert avec un temps souvent sec mais ça se compliquera par contre dans la soirée de mercredi à jeudi. Un front froid va arriver avec des précipitations qui vont tomber sur le sol encore gelé. On pourrait donc avoir des routes très glissantes et, peut-être, quelques flocons de neige.
À l'arrière de cette perturbation, il y aura de nouveau un ciel gris et puis le mercure remontera. On aura plutôt de la pluie avec des maxima pour le début du week-end compris entre 1 et 7 degrés.
Il n'y aura donc plus l'épisode que nous avons connu ce week-end.

Notre journaliste Justine Pons a mené l'enquête pour savoir s'il existait toujours des aides pour l'installation de panneaux photovoltaïques à domicile. La réponse à la question d'Arnaud est oui, il y en a encore... Mais bien moins qu'avant, c'est vrai.
À Bruxelles
Si vous vivez à Bruxelles, depuis le 1er janvier, la Région a décidé de réduire le nombre de certificats verts pour toutes les nouvelles installations. Donc, oui, il est toujours possible d'en avoir mais ils sont distribués en plus petite quantité.
En Wallonie
En Wallonie, ces certificats verts n’existent plus. Par contre, il est possible de bénéficier encore un peu du "compteur qui tourne à l’envers" jusqu’en 2030. Autrement dit, si Arnaud vit en région wallonne, il ne va payer que le solde entre ce qu’il prélève du réseau et ce qu’il réinjecte dessus. Et parfois, cela représente tout simplement zéro euro.
Mais il va falloir se décider rapidement, vu que les délais d’attente et de livraison sont importants.
Il faut installer ces panneaux avant la fin de cette année pour en profiter.
Réduction des aides
Il existe un autre mécanisme appelé le tarif PROSUMER. Il s'agit d'une redevance à payer aux producteurs d’énergie.
Auparavant, la Wallonie octroyait une prime pour couvrir cette redevance à 100% mais aujourd’hui, ce soutien est réduit de moitié. Dès l’année prochaine, il n’existera plus. Il faudra donc payer donc soi-même cette redevance.
Le "Rénopack"
Enfin, la dernière aide possible c'est le "Rénopack", qui est un prêt à taux 0% pour réaliser des travaux de rénovation, et donc, installer des panneaux. Ce prêt existe pour un budget de 1000 à 60 000 euros. C'est solution est évidemment soumise à conditions, comme être propriétaire occupant - en Wallonie uniquement - avec maximum 2 enfants à charge ou avoir eu au cours de l'avant-dernière année des revenus globalement imposables (RIG) inférieurs à 100.400€ ou encore recouvrir à un entrepreneur professionnel pour réaliser les travaux.
Notez que primes ou pas, l’installation de panneaux solaires reste une solution d’avenir et très rentable.

Notre journaliste Justine Pons a mené l'enquête pour savoir s'il existait toujours des aides pour l'installation de panneaux photovoltaïques à domicile. La réponse à la question d'Arnaud est oui, il y en a encore... Mais bien moins qu'avant, c'est vrai.
À Bruxelles
Si vous vivez à Bruxelles, depuis le 1er janvier, la Région a décidé de réduire le nombre de certificats verts pour toutes les nouvelles installations. Donc, oui, il est toujours possible d'en avoir mais ils sont distribués en plus petite quantité.
En Wallonie
En Wallonie, ces certificats verts n’existent plus. Par contre, il est possible de bénéficier encore un peu du "compteur qui tourne à l’envers" jusqu’en 2030. Autrement dit, si Arnaud vit en région wallonne, il ne va payer que le solde entre ce qu’il prélève du réseau et ce qu’il réinjecte dessus. Et parfois, cela représente tout simplement zéro euro.
Mais il va falloir se décider rapidement, vu que les délais d’attente et de livraison sont importants.
Il faut installer ces panneaux avant la fin de cette année pour en profiter.
Réduction des aides
Il existe un autre mécanisme appelé le tarif PROSUMER. Il s'agit d'une redevance à payer aux producteurs d’énergie.
Auparavant, la Wallonie octroyait une prime pour couvrir cette redevance à 100% mais aujourd’hui, ce soutien est réduit de moitié. Dès l’année prochaine, il n’existera plus. Il faudra donc payer donc soi-même cette redevance.
Le "Rénopack"
Enfin, la dernière aide possible c'est le "Rénopack", qui est un prêt à taux 0% pour réaliser des travaux de rénovation, et donc, installer des panneaux. Ce prêt existe pour un budget de 1000 à 60 000 euros. C'est solution est évidemment soumise à conditions, comme être propriétaire occupant - en Wallonie uniquement - avec maximum 2 enfants à charge ou avoir eu au cours de l'avant-dernière année des revenus globalement imposables (RIG) inférieurs à 100.400€ ou encore recouvrir à un entrepreneur professionnel pour réaliser les travaux.
Notez que primes ou pas, l’installation de panneaux solaires reste une solution d’avenir et très rentable.

Si vous ne le saviez pas, oui, il est possible de demander une indemnité au gestionnaire des voiries en cas d'accident causé par la dégradation des routes. Cela peut-être le cas pour des nids de poule, l'état des routes ou encore des erreurs de signalisation.
"Une dégradation de la voirie"
"Ces plaintes peuvent être émises par les usagers parce qu'ils estiment que leur véhicule a été endommagé suite à une dégradation de la voirie", explique Héloïse Winandy, porte-parole de la Sofico. "Ils peuvent aussi déposer cette plainte s'ils estiment avoir été victime d'une perte de chargement, avoir endommagé leur voiture sur une chaussée glissante, avoir été victime d'une signalisation défectueuse…"
2,7 millions d'euros d'indemnisation
De nombreux usagers ont déjà fait la démarche: plus de 350 plaintes ont été enregistrées par la Sofico l'an dernier. 350 plaintes en 2022, c'est moins que les années précédentes. Mais les demandes d'indemnisation sont en hausse et les montants sont plus importants. La Wallonie et la Sofico ont ensemble déboursé 2,7 millions d'euros l'an dernier.
Chaque année, 350 millions d'euros sont investis pour l'entretien et la réhabilitation de la voirie.

Si vous ne le saviez pas, oui, il est possible de demander une indemnité au gestionnaire des voiries en cas d'accident causé par la dégradation des routes. Cela peut-être le cas pour des nids de poule, l'état des routes ou encore des erreurs de signalisation.
"Une dégradation de la voirie"
"Ces plaintes peuvent être émises par les usagers parce qu'ils estiment que leur véhicule a été endommagé suite à une dégradation de la voirie", explique Héloïse Winandy, porte-parole de la Sofico. "Ils peuvent aussi déposer cette plainte s'ils estiment avoir été victime d'une perte de chargement, avoir endommagé leur voiture sur une chaussée glissante, avoir été victime d'une signalisation défectueuse…"
2,7 millions d'euros d'indemnisation
De nombreux usagers ont déjà fait la démarche: plus de 350 plaintes ont été enregistrées par la Sofico l'an dernier. 350 plaintes en 2022, c'est moins que les années précédentes. Mais les demandes d'indemnisation sont en hausse et les montants sont plus importants. La Wallonie et la Sofico ont ensemble déboursé 2,7 millions d'euros l'an dernier.
Chaque année, 350 millions d'euros sont investis pour l'entretien et la réhabilitation de la voirie.

Pionnière en la matière, la jeune pousse Fairbrics veut récupérer le CO2 rejeté par les industriels pour le transformer en bobines de polyester, avec "l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024" à Anvers, explique à l'AFP son président Benoît Illy.
"Nous utilisons du CO2 industriel. Le problème, ce n'est pas la capture, c'est 'qu'est-ce qu'on en fait, après la capture ?' Ça coûte cher de s'en débarrasser et aujourd'hui, il n'y a pas de valorisation", fait-il remarquer. "Quand on compare notre produit avec une fibre actuellement sur le marché, on note que cette technologie permet de réduire l'impact carbone de 70%", poursuit-il.
"S'habiller est un besoin primaire", poursuit Benoît Illy. "Le polyester, en étant une fibre synthétique, peut être produit de manière très efficace, en utilisant très peu d'eau et de ressources, contrairement au coton, fibre naturelle, mais qui a un impact désastreux sur l'environnement."
Selon les prédictions de la start-up Fairbrics, le coût "sera voisin des productions de matières pétrosourcées, entre le même prix et deux fois plus cher", précise Benoît Illy. "Les marques nous ont dit que c'était acceptable, car il y a un bénéfice environnemental."
Il n'y a pas d'accord signé pour l'heure mais l'entreprise a noué trois partenariats avec des grandes marques de prêt-à-porter, H&M, Aigle et On-Running, qui ont payé une partie de son développement.
Bientôt à Anvers
Fairbrics, qui a aussi eu des discussions avec des groupes de pétrochimie et des sidérurgistes, travaille à l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024 à Anvers.
"Nous récupérerons du CO2 sur la plateforme pétrochimique de son port. Cette phase préindustrielle nous permettra de produire l'équivalent de 1.000 T-shirts par jour. Nous avons assez d'argent pour l'usine pilote, mais pour l'usine à taille réelle, qui nécessiterait un investissement de plusieurs dizaines de millions d'euros, nous devrons faire une nouvelle levée de fonds dans douze mois", explique la start-up."En développant notre innovation, nous avons réalisé qu'il y avait un fort engouement pour rapatrier de la production en France, notamment avec la crise Covid et les problèmes d'approvisionnement. Au début, nous voulions produire en Asie, mais nous avons changé d'avis et nous voudrions produire en Europe, pour le marché européen et licencier la technologie pour les Etats-Unis et l'Asie."
Le coût de l'énergie, qui est beaucoup plus chère en Europe qu'en Chine, pose problème, souligne Benoît Illy, "mais comme cette technologie nécessite peu de main-d'oeuvre (techniciens et ingénieurs), nous pourrons être compétitifs même avec des salaires européens".
Un rapport publié jeudi et mené par l'université d'Oxford tend à montrer que les projets d'élimination du CO2 sont actuellement largement insuffisants pour atteindre les objectifs climatiques internationaux, qui vont nécessiter le développement massif et rapide de technologies innovantes. D'où le caractère essentiel de ces nouveaux développements industriels.

Pionnière en la matière, la jeune pousse Fairbrics veut récupérer le CO2 rejeté par les industriels pour le transformer en bobines de polyester, avec "l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024" à Anvers, explique à l'AFP son président Benoît Illy.
"Nous utilisons du CO2 industriel. Le problème, ce n'est pas la capture, c'est 'qu'est-ce qu'on en fait, après la capture ?' Ça coûte cher de s'en débarrasser et aujourd'hui, il n'y a pas de valorisation", fait-il remarquer. "Quand on compare notre produit avec une fibre actuellement sur le marché, on note que cette technologie permet de réduire l'impact carbone de 70%", poursuit-il.
"S'habiller est un besoin primaire", poursuit Benoît Illy. "Le polyester, en étant une fibre synthétique, peut être produit de manière très efficace, en utilisant très peu d'eau et de ressources, contrairement au coton, fibre naturelle, mais qui a un impact désastreux sur l'environnement."
Selon les prédictions de la start-up Fairbrics, le coût "sera voisin des productions de matières pétrosourcées, entre le même prix et deux fois plus cher", précise Benoît Illy. "Les marques nous ont dit que c'était acceptable, car il y a un bénéfice environnemental."
Il n'y a pas d'accord signé pour l'heure mais l'entreprise a noué trois partenariats avec des grandes marques de prêt-à-porter, H&M, Aigle et On-Running, qui ont payé une partie de son développement.
Bientôt à Anvers
Fairbrics, qui a aussi eu des discussions avec des groupes de pétrochimie et des sidérurgistes, travaille à l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024 à Anvers.
"Nous récupérerons du CO2 sur la plateforme pétrochimique de son port. Cette phase préindustrielle nous permettra de produire l'équivalent de 1.000 T-shirts par jour. Nous avons assez d'argent pour l'usine pilote, mais pour l'usine à taille réelle, qui nécessiterait un investissement de plusieurs dizaines de millions d'euros, nous devrons faire une nouvelle levée de fonds dans douze mois", explique la start-up."En développant notre innovation, nous avons réalisé qu'il y avait un fort engouement pour rapatrier de la production en France, notamment avec la crise Covid et les problèmes d'approvisionnement. Au début, nous voulions produire en Asie, mais nous avons changé d'avis et nous voudrions produire en Europe, pour le marché européen et licencier la technologie pour les Etats-Unis et l'Asie."
Le coût de l'énergie, qui est beaucoup plus chère en Europe qu'en Chine, pose problème, souligne Benoît Illy, "mais comme cette technologie nécessite peu de main-d'oeuvre (techniciens et ingénieurs), nous pourrons être compétitifs même avec des salaires européens".
Un rapport publié jeudi et mené par l'université d'Oxford tend à montrer que les projets d'élimination du CO2 sont actuellement largement insuffisants pour atteindre les objectifs climatiques internationaux, qui vont nécessiter le développement massif et rapide de technologies innovantes. D'où le caractère essentiel de ces nouveaux développements industriels.

Pionnière en la matière, la jeune pousse Fairbrics veut récupérer le CO2 rejeté par les industriels pour le transformer en bobines de polyester, avec "l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024" à Anvers, explique à l'AFP son président Benoît Illy.
"Nous utilisons du CO2 industriel. Le problème, ce n'est pas la capture, c'est 'qu'est-ce qu'on en fait, après la capture ?' Ça coûte cher de s'en débarrasser et aujourd'hui, il n'y a pas de valorisation", fait-il remarquer. "Quand on compare notre produit avec une fibre actuellement sur le marché, on note que cette technologie permet de réduire l'impact carbone de 70%", poursuit-il.
"S'habiller est un besoin primaire", poursuit Benoît Illy. "Le polyester, en étant une fibre synthétique, peut être produit de manière très efficace, en utilisant très peu d'eau et de ressources, contrairement au coton, fibre naturelle, mais qui a un impact désastreux sur l'environnement."
Selon les prédictions de la start-up Fairbrics, le coût "sera voisin des productions de matières pétrosourcées, entre le même prix et deux fois plus cher", précise Benoît Illy. "Les marques nous ont dit que c'était acceptable, car il y a un bénéfice environnemental."
Il n'y a pas d'accord signé pour l'heure mais l'entreprise a noué trois partenariats avec des grandes marques de prêt-à-porter, H&M, Aigle et On-Running, qui ont payé une partie de son développement.
Bientôt à Anvers
Fairbrics, qui a aussi eu des discussions avec des groupes de pétrochimie et des sidérurgistes, travaille à l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024 à Anvers.
"Nous récupérerons du CO2 sur la plateforme pétrochimique de son port. Cette phase préindustrielle nous permettra de produire l'équivalent de 1.000 T-shirts par jour. Nous avons assez d'argent pour l'usine pilote, mais pour l'usine à taille réelle, qui nécessiterait un investissement de plusieurs dizaines de millions d'euros, nous devrons faire une nouvelle levée de fonds dans douze mois", explique la start-up."En développant notre innovation, nous avons réalisé qu'il y avait un fort engouement pour rapatrier de la production en France, notamment avec la crise Covid et les problèmes d'approvisionnement. Au début, nous voulions produire en Asie, mais nous avons changé d'avis et nous voudrions produire en Europe, pour le marché européen et licencier la technologie pour les Etats-Unis et l'Asie."
Le coût de l'énergie, qui est beaucoup plus chère en Europe qu'en Chine, pose problème, souligne Benoît Illy, "mais comme cette technologie nécessite peu de main-d'oeuvre (techniciens et ingénieurs), nous pourrons être compétitifs même avec des salaires européens".
Un rapport publié jeudi et mené par l'université d'Oxford tend à montrer que les projets d'élimination du CO2 sont actuellement largement insuffisants pour atteindre les objectifs climatiques internationaux, qui vont nécessiter le développement massif et rapide de technologies innovantes. D'où le caractère essentiel de ces nouveaux développements industriels.

Pionnière en la matière, la jeune pousse Fairbrics veut récupérer le CO2 rejeté par les industriels pour le transformer en bobines de polyester, avec "l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024" à Anvers, explique à l'AFP son président Benoît Illy.
"Nous utilisons du CO2 industriel. Le problème, ce n'est pas la capture, c'est 'qu'est-ce qu'on en fait, après la capture ?' Ça coûte cher de s'en débarrasser et aujourd'hui, il n'y a pas de valorisation", fait-il remarquer. "Quand on compare notre produit avec une fibre actuellement sur le marché, on note que cette technologie permet de réduire l'impact carbone de 70%", poursuit-il.
"S'habiller est un besoin primaire", poursuit Benoît Illy. "Le polyester, en étant une fibre synthétique, peut être produit de manière très efficace, en utilisant très peu d'eau et de ressources, contrairement au coton, fibre naturelle, mais qui a un impact désastreux sur l'environnement."
Selon les prédictions de la start-up Fairbrics, le coût "sera voisin des productions de matières pétrosourcées, entre le même prix et deux fois plus cher", précise Benoît Illy. "Les marques nous ont dit que c'était acceptable, car il y a un bénéfice environnemental."
Il n'y a pas d'accord signé pour l'heure mais l'entreprise a noué trois partenariats avec des grandes marques de prêt-à-porter, H&M, Aigle et On-Running, qui ont payé une partie de son développement.
Bientôt à Anvers
Fairbrics, qui a aussi eu des discussions avec des groupes de pétrochimie et des sidérurgistes, travaille à l'installation d'une usine pilote qui devrait voir le jour mi-2024 à Anvers.
"Nous récupérerons du CO2 sur la plateforme pétrochimique de son port. Cette phase préindustrielle nous permettra de produire l'équivalent de 1.000 T-shirts par jour. Nous avons assez d'argent pour l'usine pilote, mais pour l'usine à taille réelle, qui nécessiterait un investissement de plusieurs dizaines de millions d'euros, nous devrons faire une nouvelle levée de fonds dans douze mois", explique la start-up."En développant notre innovation, nous avons réalisé qu'il y avait un fort engouement pour rapatrier de la production en France, notamment avec la crise Covid et les problèmes d'approvisionnement. Au début, nous voulions produire en Asie, mais nous avons changé d'avis et nous voudrions produire en Europe, pour le marché européen et licencier la technologie pour les Etats-Unis et l'Asie."
Le coût de l'énergie, qui est beaucoup plus chère en Europe qu'en Chine, pose problème, souligne Benoît Illy, "mais comme cette technologie nécessite peu de main-d'oeuvre (techniciens et ingénieurs), nous pourrons être compétitifs même avec des salaires européens".
Un rapport publié jeudi et mené par l'université d'Oxford tend à montrer que les projets d'élimination du CO2 sont actuellement largement insuffisants pour atteindre les objectifs climatiques internationaux, qui vont nécessiter le développement massif et rapide de technologies innovantes. D'où le caractère essentiel de ces nouveaux développements industriels.

La présence féminine sur le marché du travail connaît une évolution positive ininterrompue: elle est passée de 50% au milieu des années 90 à 67% en 2021, indique lundi Le Soir, citant un rapport sur la place des femmes dans le marché du travail présenté par la Banque nationale de Belgique (BNB) et le Comité supérieur de l'emploi.
Ce changement a permis de réduire l'écart entre le taux d'emploi des hommes et des femmes de 24 à 8 points de pourcentage en un quart de siècle environ, grâce à une présence accrue de ces dernières dans l'enseignement supérieur et au développement du secteur des services (tertiaire), où elles sont surreprésentées.
"Les femmes ajustent leur temps de travail"
Tout n'est pas rose pour autant, souligne le quotidien. Car une femme sur trois âgée entre 15 et 64 ans reste absente du marché du travail (pour un homme sur quatre). Un écart qui ne se creuse pas forcément lors de l'entrée sur le marché du travail mais plutôt avec la maternité et l'arrivée des enfants dans le ménage.
"La parentalité est un élément déterminant dans l'écart de genre", explique Maud Nautet de la BNB. "Ce sont principalement les femmes qui vont ajuster leur temps de travail ou leur carrière pour s'occuper des enfants."
De cette situation découle une série de conséquences : évolution salariale plus faible (l'écart salarial entre genres se chiffre à 8,5%.), recours accru au travail à temps partiel, promotion moins fréquente et par conséquent retraite moins élevée.
Disclaimer: Belga diffuse quotidiennement des dépêches reprenant des informations provenant d'autres médias. Ces dépêches sont identifiables par le mot-clé PRESS. Belga ne peut toutefois pas être tenu pour responsable de ces informations fournies par d'autres médias. Merci aux rédactions qui les utiliseraient de toujours citer la source exacte des informations relayées par Belga.

La présence féminine sur le marché du travail connaît une évolution positive ininterrompue: elle est passée de 50% au milieu des années 90 à 67% en 2021, indique lundi Le Soir, citant un rapport sur la place des femmes dans le marché du travail présenté par la Banque nationale de Belgique (BNB) et le Comité supérieur de l'emploi.
Ce changement a permis de réduire l'écart entre le taux d'emploi des hommes et des femmes de 24 à 8 points de pourcentage en un quart de siècle environ, grâce à une présence accrue de ces dernières dans l'enseignement supérieur et au développement du secteur des services (tertiaire), où elles sont surreprésentées.
"Les femmes ajustent leur temps de travail"
Tout n'est pas rose pour autant, souligne le quotidien. Car une femme sur trois âgée entre 15 et 64 ans reste absente du marché du travail (pour un homme sur quatre). Un écart qui ne se creuse pas forcément lors de l'entrée sur le marché du travail mais plutôt avec la maternité et l'arrivée des enfants dans le ménage.
"La parentalité est un élément déterminant dans l'écart de genre", explique Maud Nautet de la BNB. "Ce sont principalement les femmes qui vont ajuster leur temps de travail ou leur carrière pour s'occuper des enfants."
De cette situation découle une série de conséquences : évolution salariale plus faible (l'écart salarial entre genres se chiffre à 8,5%.), recours accru au travail à temps partiel, promotion moins fréquente et par conséquent retraite moins élevée.
Disclaimer: Belga diffuse quotidiennement des dépêches reprenant des informations provenant d'autres médias. Ces dépêches sont identifiables par le mot-clé PRESS. Belga ne peut toutefois pas être tenu pour responsable de ces informations fournies par d'autres médias. Merci aux rédactions qui les utiliseraient de toujours citer la source exacte des informations relayées par Belga.

Un jeune homme a été tué par balles dimanche soir à Marseille, dans ce qui serait le deuxième homicide de l'année dans le département, selon un décompte de l'AFP, a-t-on appris lundi de source judiciaire et policière.
Le corps de la victime, "un homme âgé d'une vingtaine d'années", a été retrouvé aux alentours de 23h00 cité Fonscolombes, dans le IIIe arrondissement de Marseille, dans le centre-ville près du port, a indiqué le parquet de Marseille, en précisant que "plusieurs douilles (ont été) découvertes à proximité de la victime".
Le parquet a précisé avoir "ouvert une enquête des chefs d'assassinat et de participation à une association de malfaiteurs en vue de la commission d'un crime". L'enquête a été confiée à la police judiciaire.
Selon une source policière, la victime était âgée de 23 ans et déjà connue des services de police, mais aucune piste n'était immédiatement privilégiée. Un point de deal de drogue existe non loin du lieu de l'assassinat, mais l'assassinat ne relève pas d'un "rafalage" à l'arme de guerre de type kalachnikov, comme lors de certaines fusillades liées aux guerres de territoires entre trafiquants.
Selon une autre source policière, la victime a été touchée à la tête par un tir et est décédée malgré l'intervention des secours.
Selon le décompte de l'AFP, il s'agit du deuxième mort par balles de l'année à Marseille, après un homme de 45 ans, retrouvé mort dans la nuit de jeudi à vendredi dans une cité du nord de la ville, après une fusillade qui a également fait deux blessés.
L'année 2022 avait été particulièrement meurtrière dans la deuxième ville de France, avec 32 victimes d'homicides en bande organisée, principalement sur fond de trafic de stupéfiants, selon les chiffres du parquet.

Un jeune homme a été tué par balles dimanche soir à Marseille, dans ce qui serait le deuxième homicide de l'année dans le département, selon un décompte de l'AFP, a-t-on appris lundi de source judiciaire et policière.
Le corps de la victime, "un homme âgé d'une vingtaine d'années", a été retrouvé aux alentours de 23h00 cité Fonscolombes, dans le IIIe arrondissement de Marseille, dans le centre-ville près du port, a indiqué le parquet de Marseille, en précisant que "plusieurs douilles (ont été) découvertes à proximité de la victime".
Le parquet a précisé avoir "ouvert une enquête des chefs d'assassinat et de participation à une association de malfaiteurs en vue de la commission d'un crime". L'enquête a été confiée à la police judiciaire.
Selon une source policière, la victime était âgée de 23 ans et déjà connue des services de police, mais aucune piste n'était immédiatement privilégiée. Un point de deal de drogue existe non loin du lieu de l'assassinat, mais l'assassinat ne relève pas d'un "rafalage" à l'arme de guerre de type kalachnikov, comme lors de certaines fusillades liées aux guerres de territoires entre trafiquants.
Selon une autre source policière, la victime a été touchée à la tête par un tir et est décédée malgré l'intervention des secours.
Selon le décompte de l'AFP, il s'agit du deuxième mort par balles de l'année à Marseille, après un homme de 45 ans, retrouvé mort dans la nuit de jeudi à vendredi dans une cité du nord de la ville, après une fusillade qui a également fait deux blessés.
L'année 2022 avait été particulièrement meurtrière dans la deuxième ville de France, avec 32 victimes d'homicides en bande organisée, principalement sur fond de trafic de stupéfiants, selon les chiffres du parquet.
28/03/2023 : 05:09